A 16ans, je vais à Rennes en Ille-et-Vilaine (35) avec une copine plus âgée pour y passer le week-end. Elle rencontre 5 parisiens et décide que nous passerons la soirée avec eux. Nous allons à un concert à côté de la fac et ils nous font boire “généreusement”. Vers minuit environ il y en a un qui m’isole du groupe pour discuter avec moi sur le parking, puis me propose de rentrer en taxi à son hôtel pour y attendre les autres. J’accepte. A l’hôtel, il me montre sa carte d’identité -qui est une carte de séjour- surement une stratégie pour me mettre en confiance. Nous montons dans sa chambre et me touche en me disant que si je ne le laisse pas faire il me ken (me tue). La porte est fermée à clef. Après avoir fait à peu près tout ce qu’il voulait avec moi et dans sa grande humanité, il s’est retirer pour éjaculer en me montrant que quand-même, il avait du respect pour moi… Ses potes son arrivés et je me suis frayé un chemin pour sortir et courir. Mon identité, mon être s’est figé pour échappé à la mort. Quand une femme ne dit pas non, c’est qu’elle est sidérée par la peur. Elle s’échappe d’elle-même. Je ne me rappelle absolument pas de son nom, ni du nom de l’hôtel qui est en centre ville de Rennes (Ils doivent avoir les registres). Mais si je le retrouve (il faut prémâcher le travail de la police dans ce genre de circonstances), je m’empresserai d’aller porter plainte!! Et même si je ne connais aucune femme ni homme agressé qui n’ait jamais gagné, je serais très contente de pouvoir dire à sa femme ou à ses enfants ce que cet homme m’a fait quand j’étais jeunes.
Le premier homme nu que j’ai vu, c’était une après-midi d’automne, en me promenant sur le cap d’Erquy avec ma mère. Il n’y avait vraiment personne. Un homme court et nous croise, le sexe à l’air et et un bas pour masquer son visage.
Non loin de là, il y avait une plage nudiste assez peu fréquentée, (surtout à la fin de l’automne). Quand j’allais m’y promener avec des amis, Il y avait toujours un homme qui nous demandait de nous mettre nu si nous voulions rester sur cette plage: nous n’avions pas plus de 12 ans.
Me promenant avec ma cousine, nous avons 11ans, un vieux du village l’attrape et l’embrasse.
Pas beaucoup plus longtemps plus tard, un vieux missionnaire que nous appelions “le pointeur” passait son temps à nous suivre et à tenter diverses approches jusqu’à se cacher derrière les poubelles pour “y faire pipi” pendant de nombreuses minutes.Le temps passe et un jour, étonnée je le retrouve à la sortie de mon lycée! Je pars jusqu’au lycée de ma cousine, en sortant, je m’aperçois qu’il y est aussi et nous affirme qu’il savait parfaitement ou nous trouver. Nous avons du faire preuve de force. Il n’est plus revenu nous emmerder.
Le premier gars avec qui je me met en couple pour quelques mois et avec qui j’ai mon premier rapport me traite de salope et de sale pute dans tout son entourage, juste parce que nous avons des rapports sexuels.
En voyage au Portugal, impossible de traverser la ville où je vivais de nuit sans voir un homme se masturber derrière un poteau.
Dans le RER parisien, un homme agite un rayon lumineux de l’extérieur vers moi pour attirer mon attention et ainsi se masturber sous mon regard.
Un jour, je me donne le droit d’aller me baigner seule sur une plage isolée: et un homme est là, de 30ans plus vieux que moi qui en ait 20, il s’approche de plus en plus, le regard grivois. Je suis obliger de fuir rapidement.
Autrement plus dérangeant, il y a quelques mois, je vais voir mes grand-parents pour ce que j’espère être la dernière fois (après entre-autre avoir appris qu’ils avaient eu des petits jeux avec leur fils quand il était enfant), et là, ma grand-mère me met une main au cul avec doigt au niveau du vagin. Quelques minutes plus tard, mon grand-père dans une situation qui simule le jeu, pose sa main furtivement sur l’entre-jambe de ma fille de 3ans. Je l’attrape, nous partons. Je les reverrai sur leur tombe.
J’aurais d’autres personnes à balancer mais le temps n’est pas encore venu.
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