j’étais alors jeune étudiante en journalisme et j’effectuais un stage au journal “l’Aurore” à Paris, outre les plaisanteries crapuleuses “c’est pour un sondage, tu avales la fumée?” je ne savais même pas alors ce que cela voulait dire, et quand on me l’a dit, j’ai pleuré comme une gourde! les journalistes avait envie de s’amuser avec une jeune stagiaire de 22 ans, mains sur les seins, aux fesses, et même ***********, qui était alors journaliste à l’Aurore, m’a fait déambuler dans son bureau, dont les murs étaient tapissés de filles en petite tenue, de certains mauvais journaux, dans le style “Détectives”, juste pour “admirer mes jambes en contrejour”.
le Journalisme est un milieu particulièrement phallocrate, et les allusions sont permanentes entendre tous les jours des réflexions du style “pour t’appeler il faut te chercher sur le téléphone rose?” ou alors “Martinella.com”? “ou bien “tu as une bouche à pipe” est particulièrement éprouvant. J’ai travaillé longtemps seule chez moi, en tant que rédacteur détachée et lorsque j’ai dû intégrer une équipe, j’y ai perdu de mon équilibre et comme je ne me laisse pas faire, on a tout fait pour me faire partir…
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