Je n’était qu’une toute petite fille, Francis habitait l’immeuble perpendiculaire au notre, ma famille me laissait chez lui et sa femme Annick plusieurs fois mois je me retrouvais chez lui, il me donnait mon bain et imposait son doigt dans mon sexe en me parlant c’est bon ma petite chatte, cet imbécile n’avait même pas conscience du malaise et du chagrin qu’il instaurait dans mes parties sacrées et intimes, j’ai une conscience pour ma part en tout cas elle était très aiguë dans mon plus jeune âge d’où mon souvenir intact je pratique la méditation et autre manières de reconnaitre la souveraineté de l’être et de son bien-être, pour être plus forte que l’ignorance que le malaise que l’impuissance plus forte que les autres mauvaises expériences sexuelles de cette existence anarchique et parfois violente je ne souhaite que l’acceptation et l’appréciation de chaque personne avec elle même et la déférence quand a l’autre bien avant l’échange charnelle consentie.
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