Je vivais à Paris 19ème j’avais la trentaine.
Un soir je me suis endormie vers 23 h.
J’ai repris connaissance très tôt le matin mais je ne savais pas quelle heure il était parce que à chaque fois que je reprenait connaissance je faisais des efforts surhumains pour me relever et quand j’y arrivais je reperdais connaissance aussitôt. Je crois que ça a duré longtemps. J’ai pu constaté que je me trouvais dans la salle de bain sans voir réellement consciemment dans quelle situation je me trouvais.
Quand enfin j’ai repris connaissance totalement.
J’ai constaté que la salle de bain et mon studio étaient inondés mais que la pomme de douche était fermée. Je suis allée voir l’heure, il était 6h du matin. Donc entre 23h et 6h je ne me souviens de rien. J’ai appelé les pompiers qui m ont dit qu’il fallait voir avec le gardien. Je l’ai appelé et il m’a dit qu’il allait m’envoyer quelqu’un pour aspirer l’eau.
J’étais si épuisée que je me suis couchée et j’ai dormi jusqu à 12h. A mon réveil j’ai ressenti des douleurs fortes et j’ai constaté que j’étais blessée à un endroit de mon corps. Ma peau avait été lacérée très abîmée. Je suis allée voir mon médecin mais elle ne m’a pas aidée à en parler. En allant la voir j’ai constaté que le verrou du bas posé par le serrurier du labo lafon était très abîmé et ne fonctionnait plus.
J’avais 3 verrous.
Celui abîmé avait des clés spéciales que l’on ne peut refaire qu’avec un no confidentiel. Je n’ai jamais donné mes clés encore moins mon no confidentiel.
Étant très épuisée physiquement et psychologiquement je n’ai pas pu réparer le verrou.
Pourtant quelques jours après en mon absence et à mon retour j’ai constaté que le verrou abîmé du bas avait été réparé par les agresseurs que je ne connais pas.
Quelque temps après je me suis rendue à un WK de l’apgl association des parents gays et lesbiens auquel je me suis rendue malgré la douleur des plaies.
J’ai été adhérente à l’apgl pendant 10 ans pour un projet de coparentalité avec un gay ou un couple de gays par insémination artificielle. Et j’avais aussi l’espoir de rencontrer une lesbienne pour une relation amoureuse sérieuse sous le même toit. J’ai passé régulièrement des PAs en ce sens.
Donc quand je l’ai écrit au procureur en R Avec AR. Je n’ai eu aucun retour.
Encore l omerta vendetta judiciaire !
Pourquoi je ne sais pas.
Depuis fin octobre 2000 1ère plainte au procureur j’ai lourdement insisté en R Avec AR pour être entendue et avoir accès à mon dossier judiciaire sans succès.
J’ai rencontré des avocats pour me porter partie civile mais dès qu’il s agit de l’aide juridictionnelle ils ne veulent pas. C’est infernal.
Les lois existent mais j’ai vraiment l’impression que c’est à la tête de la victime, une sorte de délit de faciès.
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