J’avais 17 ans à cette époque, (je vivais seule, mon père décédé, et ma mère à l’hôpital), et lui 47, et je fréquentais une église réformée, je ne puis la nommer, car je ne veux pas être reconnue. C’est par cette famille, membre de cette église, et étant des voisins, que je me suis liée d’amitié avec eux, et y suis entrée aussi. Le père de cette famille composée de 6 enfants, dont les 2 ainés étaient des copains de mon âge, m’a rendu visite un soir, comme il le faisait parfois, en tant que prêtre. Mais cette fois-ci, il a dévié la conversation, en me parlant de ses rapports sexuels avec sa femme lorsqu’il l’a rencontrée, et d’une femme qui avait eu des relations sexuelles avec un berger allemand. J’écoutais abasourdie, ça se passait dans ma chambre, j’étais assise sur mon lit, et comme je venais juste de prendre mon bain, j’étais en robe de chambre quand il a sonné à ma porte, vers 21 heures. Soudainement, il est venu s’assoir à côté de moi, sur mon lit, puis il m’a renversée, et s’est couché sur moi. J’étais totalement paralysée, et incapable de bouger. Puis il a sorti son sexe, a essayé de me descendre la culotte, mais il n’a pas réussi, car je suis arrivée à la maintenir fermement , afin qu’il ne puisse pas la descendre pour me pénétrer. Ensuite il m’a embrassée dans le cou, puis il a éjaculé sur ma culotte. Le pire c’est qu’il m’a traitée de putain après ça. Comme j’avais beaucoup estimé et aimé cette famille, je ne voulais pas porter plainte, par respect pour eux, et de surcroît, dans les années 60, on ne portait pas plainte contre ça. Mais je suis quand même aller trouver sa femme, pour lui dire que son mari n’avait pas à me traiter de putain. J’ignore si elle se doutait de ce qui est arrivé.
Cette histoire m’a terriblement affectée sur le plan psychologique surtout , car heureusement que j’ai réussi avec beaucoup de mal, à ne pas me laisser pénétrer sexuellement par lui…