Mon “père”, j’avais 2,5 ans ! Et ma mère a fermé ses petits yeux…
Mon “frère”, j’avais 16 ans et je fêtais mon premier jour de l’an avec des copains, j’étais bourrée.
Mon “oncle”, un pari avec ma truie de tante !
Trois, c’est trop et j’ai failli en mourir. Mais je suis debout ! VOUS ENTENDEZ ? JE SUIS DEBOUT !
Chère Anonyme,
JE VOUS ENTENDS ET JE VOUS FÉLICITE POUR AVOIR SURVÉCU À L’ENFER, PAS UNE, MAIS TROIS FOIS !
Je comprends que vous ayez failli en mourir ! Et je me réjouis que vous soyez encore parmi nous !
Vous êtes une battante et vous m’impressionnez par votre courage !
Comment va votre vie aujourd’hui ? Avez-vous pu vous reconstruire ?
Êtes-vous entourée ? Je l’espère !
Vous méritez le bonheur et d’être aimée! Je vous souhaite le meilleur !
Vous avez toute ma tendresse et toute mon admiration !
Catoune