Bonsoir, Comportement étrange et dangereux de ces femmes signataires de cette tribune dans le journal Le Monde. Depuis 1974, j’en ai entendu et vu des saloperies dans tous les milieux (cité, colonie de vacances, écoles confessionnelles, travail… radio, TV, cinéma, Internet… victime aussi d’un attouchement près des parties sexuelles dans un cinéma à Paris 9e par un homme en présence de ma mère qui ignorait ce qui se passait dans les années 70, j’avais 7 ans. J’ai été protégé de nombreuses fois par chance contre des agressions sexuelles, je vous comprends et j’interviens partout quand c’est nécessaire mais je remarque une lâcheté inqualifiable de nos responsables dans tous les secteurs. Ils n’ont plus peur des familles, ne craignent pas la Police et la Justice, se moquent des employeurs, des pouvoirs politiques et religieux, profitent des grandes villes devenues ingérables et des pièges. Ça va très mal se terminer, les familles ne se laisseront plus faire.
Merci pour votre témoignage Claude, c’est affreux, ce n’était plus déjà le même quartier, je me souviens de ce quartier à l’époque aussi, j’avais votre âge environ, cela craignait énormément: que des bars à prostituées et des sex shops, jusqu’à la rue Saint-Lazare. Un vrai cloaque. Quant à cette tribune immonde c’est une opération de comm pour justifier l’injustifiable tout en relançant à bon compte ces femmes hors sols. Cela n’a rien d’une tribune, car personne ne peut répondre, elles étaient hégémoniques mais plus maintenant: elles n’y sont pas habituées, car cela leur revient par les réseaux sociaux. Tout cela est une sordide manip qui vise à nier la parole des victimes authentiques en la muselant par une prétendue tribune de personnalités censées dire comment penser. Le problème est que cela ne tient plus la route, on est plus dans les années 70 et 80 où on faisait des pétitions dégueulasses pour défendre les prédateurs. Quand on commence par proférer des contrevérités patentes comme se sortir indemne d’un viol, on sait qu’on va pas débattre, d’ailleurs voyez comment elles barrent en quenouille, ce dont comme si leurs déclarations pitoyables effaçaient l’insulte du mépris et l’affront de la minimisation, cela devient ridicule, mais le sujet est trop grave pour en rigoler. Ce qui me dégoûte vraiment c’est qu’on leur donne la parole, beaucoup trop alors que les vraies victimes d’aujourd’hui sont bien évidemment invisibles et inaudibles.
Lisez l’article de l’huma inititulé “Apprendre aux filles à courber l’échine ?”.
Et qu’on leur fasse un petit stage découverte des transports parisiens, aux heures sympas: celles des invisibles du matin, ouvriers et femmes de ménage, celles des employés, puis le soir quand tout le monde se presse, un stage d’un mois sur la ligne B, un autre sur la 4 ou la 12. Abject !
Et puis surtout se faire voir, rappeler qu’on est là pour un film à faire, un livre à rééditer car finalement la retraite est bien mince, exister à nouveau dans un PAF qui vous oublie , s’imposer comme leader d’opinion, plaire aux maîtres, etc…Que des bonnes raisons pour essayer de revenir sur le devant de la scène même vieille et amochée par les ans, par la chirurgie esthétique qui fait de vous l’homme qui rit de Hugo, la teinture trop foncée, la bouche réduite à un trait, et surtout la pensée sclérosée.