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Mon père, cet enfoiré qui m’a détruite

Selon mes Souvenirs…
D’aussi loin que ma mémoire me le permet, jusqu’à maintenant.

Tout a commencé lorsque j’étais en CP, j’avais alors 6 ans/ 6 ans et demi. Ma mère était tombée enceinte et de ce que j’ai compris par la suite, c’est que mon père ne pouvait plus rien faire de sexuel avec elle, donc il était en manque. Il venait souvent me voir sous la douche, et c’est à ce moment là qu’il me demandait de le toucher au niveau du pénis. Par la suite, ma maman a fait une fausse couche et leur relation s’est un peu dégradée mais rien de très inquiétant. Ces moments intimes, que j’avais avec mon lui, était présent mais occasionnels. Je les appréciais car il n’a jamais été trop là pendant mon éducation. Pendant ma seconde année de primaire,ma mère est retombée enceinte. Plus d’actes sexuels entre eux, mon père devenait fou et donc venait plus souvent me voir pendant ma toilette. Au bout d’un certain nombre de fois,il m’a demandé plus: mettre ma langue sur son sexe, voire carrément le mettre dans ma, si petite, bouche (comme un bonbon, une sucette me disait-il). Pour moi, si naïve, il était présent, avec moi, c’est tout ce qui compter, peu importe ce qu’il me faisait faire. J’ai commencé à prendre du poids mais rien de très alarmant. Est arrivé la naissance de mon petit frère, très présente, un peu jalouse mais je me comportais comme une seconde maman. Quelques mois se sont écoulés, je n’ai rien eu à lui faire mais la relation entre mes parents recommençait à devenir pesante. Est arrivé ce qui devait arriver, la première explosion du couple parental, jour de baptême de mon petit frère (09/09/2007) sous fond d’alcool. On a emménagé chez ma grand-mère maternelle quelques mois, le temps que tout s’apaise puis se sont remis ensemble. Ma maman, par la suite, commença à s’absenter régulièrement pour aller faire de la politique et mon pèrejouait la nounou. Pendant ces moments, il recommençait à me demander delui faire des fellations mais le jeu a commencé à aller plus loin: les attouchements ont commencés. Tout d’abord, il me touchait par dessus la culotte, après en dessous, puis il me léchait la « foufoune » puis tes petites fesses. Cela se déroulait souvent dans la chambre parentale ou sur le canapé du salon. La relation parentale pendant ce temps là, s’est aggravée (coups entre eux, je me prenais des coups qui souvent étaient des coups volontaires et s’était de la part des deux). Mon père s’absentait régulièrement la nuit. Est arrivé un jour bien particulier, le Lundi de Pâques de l’année 2009 (13/04), mes parents après une énième dispute avec des coups, se sont séparés. Nous sommes restés avec ma mère dans l’appartement et mon père venait de temps en temps nous garder pour que ma mère puisse aller à ses rendez-vous politique. Ces moments étaient rares mais intenses, j’étais au CM2 et je commençais à avoir des rapports anaux, du moins le premier. J’en ai eu tellement mal, que j’ai du m’asseoir uniquement sur des coussins pendant environ 2-3 semaines. Septembre 2009, rentrée au collège, j’allais bien malgré ma prise de poids. J’ai eu deux années de pseudo tranquillité car je recevais régulièrement des coups de ma mère ainsi que des insultes. Est arrivé la 4ème, l’enfer était de retour sous toutes ses coutures: j’ai commencé à être harcelé au collège (donc je me refermais sur moi-même), mon père me suivait et m’harcelé de textos ou plutôt de sextos. Cela a duré 2 ans et je peux vous dire que je n’en pouvais plus, j’ai donc commençé à me renseigner sur le suicide et surtout comment s’y prendre.

Juillet 2013, j’ai réussi mon brevet mais direction les urgences de l’hôpital. Je me tords de douleurs abdominales, je n’arrive plus à manger et à m’hydrater: je suis donc hospitalisé. Après beaucoup d’examens, je pars au bloc opératoire pour une appendicite et j’en ressors avec 30cm d’intestin grêle en moins: je faisais une occlusion intestinale appelée trichobézoard. J’avais ingéré des cheveux et des ongles depuis des années et j’en payais le prix. Hospitalisation d’une dizaine de jours post-opération. Ma mère restait auprès de moi une bonne partie de la journée, et arrivait en fin de soirée mon père venait sans que ma mère le sache. Étant très faible, il ne faisait que m’embrasser. Septembre 2013, rentrée en Seconde dans un lycée que je n’ai pas voulu. Commencement d’une thérapie psychologique (CMPP) que je ne voulais pas non plus. Je commence à somatiser tout le mal psychique que je subis depuis plusieurs années. Je fais régulièrement des malaises et des crises d’angoisse voire de spasmophilie. Mon père me force à monter dans sa voiture à la sortie des cours quand je suis seule et on va dans des endroits peu fréquentés: il me sodomise. J’essaie de le dire au détour d’une conversation avec une surveillante mais je n’arrive pas à aller jusqu’au bout de ma démarche. La thérapie avec la psychologue ne marchant pas, je commence à consulter la pédopsychiatre du centre. Je commence aussi à trouver le moyen de me faire du mal (scarifications sur les cuisses + prise en surdose de médicaments type paracétamol à plusieurs reprises, sans grand succès). Je commence à fumer des cigarettes. Septembre 2014, rentrée dans un nouveau lycée, dans une filière que je veux. Levée 5h30 puis départ du premier transport en commun à 6h40, arrivée au lycée environ à 7h45 en temps normal. J’arrive chez moi le soir, il est 19h50, j’ai des devoirs et je m’applique (sinon ça cogne), je me douche, mange et va au lit entre 22h30 et 00h. Je commence à m’acheter de la nourriture en cachette pour manger la nuit.
Je vais de plus en plus mal, mon médecin généraliste décide de m’envoyer en clinique psychiatrique. Janvier 2015, premier séjour chez les adolescents en clinique (séjour qui n’était pas voulu), qui a duré 3 semaines. Retour au lycée, je ne vais pas mieux voire de moins en moins bien. Le 13/04/2015, voilà je réussi, j’avale en nombre important différents médicaments sur le chemin du lycée (tous trouvés dans la salle de bain familiale) et pendant la première heure de cours, je m’écroule. Trou noir. Jeme réveille à l’hôpital, vaseuse, ma grand-mère maternelle à mes côtés et après plusieurs examens, je sors avec la promesse de voir mon médecin traitant le lendemain. Le jour suivant, ma grand-mère m’amène chez mon médecin et c’est son associée qui me reçoit. On parle, et au bout d’un moment, je craque et lui raconte mon geste de la veille. Envoi en urgence (sans dire pourquoi à ma grand-mère) à l’hôpital. J’arrive au urgences pédiatriques (avec ma lettre du médecin) et je suis reçu par une interne: d’abord avec ma grand-mère puis seule. Je lui explique juste ce que j’ai pris, fait rentrer de nouveau ma grand-mère, appelle ma mère et laisse lire la lettre de mon médecin à ma grand-mère. Attente de plusieurs heures et arrivée de ma mère et de mon père (qui lui ne restera pas longtemps), prise en charge par un psychiatre et hospitalisation en pédiatrie. Le lendemain, consultation avec une pédopsychiatre, je suis dirigé (après accord de mes parents) sur une aile, pas loin, de pédopsychiatrie. (Je l’intègre en moins d’une semaine). Pendant cette hospitalisation de 4 mois, thérapie familiale et réconciliation forcée avec mon père puis annonce des viols au personnel médical (après les consignes de mon père), plainte envers X de mes parents et début de l’enquête. Première Audition le 07/07, suivie d’une relation proche avec mon père.

Mi-Avril 2016, après diverses hospitalisations dans divers centres et diverses cicatrices (encore présente sur mon corps), je vais vivre chez mon père. Il décide rapidement de changer d’appartement car celui-ci est trop petit mais voilà, pas le temps de déménager, après deux semaines de mal-être intense, je refais de nouveau une tentative de suicide. Elle se solde par un petit coma, et une hospitalisation en psychiatrie adulte avant redirection chez les adolescents (en passant par quelques jours dans le nouvel appartement droguée médicalement). Je ressors un mois après et continue un suivi en l’hôpital de jour. Recommencement des rapports anaux et voilà: je vrille et repart en psychiatrie.
Septembre 2016: je vis officiellement chez mon père, reprends les cours au lycée et un suivi psychiatrique en CMP. Mon père est omniprésent. Le problème n’étant toujours pas réglé, je somatise de nouveau et fait divers séjours en psychiatrie. Sodomies régulières et pas toujours protégée. Elles peuvent se passer aussi sans lubrifiant (« à sec » comme il le dit). J’ai même eu mal au niveau du coccyx une fois pendant cette année-là (et dû m’asseoir sur un coussin pendant un petit moment). Octobre 2017, après un dernier séjour en psychiatrie, je rencontre mon psychiatre qui me suis toujours. Père très présent et le problème est encore et toujours là. Décembre 2017: j’arrête les cours(je n’arrive plus à suivre mais j’ai quand même envie de rentrer dans le monde professionnel et je veux travailler pour prendre ma liberté). En Mai 2018, je m’inscris sur un Service Civique, commencement de la mission en Juin, et mon père vient me chercher à la fin de ma journée pour que je ne rentre pas trop tard et que l’on puisse avoir des rapports sexuels, pour moi c’était devenu une habitude. Il fait même le mec sympa et sympathise avec ma collègue de travail. Il boit en soirée et fume du shit toute la journée. Le 01/09/2018: c’est la goutte de trop, il a passé un cap de plus. Il a, selon moi, assouvi un de ses fantasmes et m’a bâillonné avec un foulard. Je décide après les encouragements des soignants qui me suivent de venir porter plainte le 06/09. Je mens et dit que j’étais violée par la même personne (mensonge que mon vrai bourreau a construit).
Dernièrement, j’ai du payer une séance d’ostéopathie car j’avais très mal au bas du dos suite à un de nos rapports.
Depuis que je suis pubère, il a mit en place une règle, elle est que dès que j’ai des poils, que se soit, soit sur le maillot, sur les jambes, sous les aisselles ou même les avant-bras: rasage. Avant quand je me faisais du mal, je devais lui dire et qu’il le fasse lui, si je le faisais pas, j’étais puni (mais pas des punitions normales). Mais maintenant, c’est moi avec toujours la même sentence, si je ne le fais pas.
Je reste enfermée dans ma chambre autant que possible.
Nos rapports se déroulent le plus souvent dans le salon (qui est sa chambre). On regarde des films pornographique ensemble soit sur la télé quand il a des DVD soit maintenant sur son smartphone. Je ne sais pas si je suis encore vierge au niveau vaginal.Si je ne le suis plus, il m’aura encore plus détruite.

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nanar17
4 années plus tôt

Psionic va te répondre je sais pas quoi te dire à part que surement tu as enfouie des choses en toi, faudrais que tu puisse le dénoncer et tu peut encore le faire, faut juste te dire que c’est lui le porc, le coupable pas toi, je suis de tout coeur avec toi et j’espère que tu trouveras le reste de force en toi qui te permettront d’en parler de le dénoncer.
Il ta manipulé , puis profite de ta faiblesse dénonce-le et prends ta liberté construit toi une belle vie.
Ce qu’il a fait est horrible.

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Louve
4 années plus tôt

Bonsoir, ce que vous vivez est horrible et je vous en supplie parlez dénoncez votre père car c’est la seule manière pour vous de vous en sortir !

Ce porc exerce une réelle emprise sur vous et je suppose qu’il doit veiller à tout avoir sous contrôle, sous surveillance.

Voici deux contacts essentiels pour vous sortir de cette enfer dans l’urgence; Si vous ne parlez pas, si vous ne donnez pas son nom, il vous conduira au pire.
Pour ma part, j’ai beaucoup été soutenue par les bénévoles de l’association Viol Femmes Informations. Vous pouvez les joindre au 0800 05 95 95 du lundi au vendredi de 10h à 19h. C’est un numéro gratuit et vous pouvez rester anonyme.
Vous trouverez d’autres informations très intéressantes sur leur site : https://cfcv.asso.fr/

Voici aussi un tchat qui vous permettra d’être mise en relation avec un représentant de la police formé spécifiquement pour ce type d’horreurs :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2274

Allez dans l’onglet “Alerter la police et la gendarmerie par messagerie instantannée”.

Voici d’autres sites qui pourront vous être utile :
Réseau France victimes

http://www.france-victimes.fr/

numéro d’urgence: 116 006

site très bien fait avec nombreuses adresses et liens par régions.

Sur l’inceste :
** l’AIVI (Association Internationale pour les Victimes d’Inceste) site internet:

https://aivi.org/

https://www.sos-inceste-violences-sexuelles.fr/
numéro vert: 02 22 06 89 03
ARSINOE – Liens Utiles
http://www.arsinoe.org/arsinoe-liens.php

** site de Muriel Salmona: mémoire traumatique ; voir son article mémoire traumatique en pdf sur le site
https://www.memoiretraumatique.org/

** indiqué par Céline9: un site très intéressant d’ailleurs
https://www.cyrinne.com/

Ecoutez je ne le fais jamais mais si vous créez un profil nous pouvons communiquer par messagerie et je vous donnerai mon numéro si vous êtes isolée. Je ne pourrai jamais accepter qu’on puisse faire subir de telles horreurs sans réagir. Vous êtes jeune et vous avez besoin d’aide et surtout d’être enfin dans un environnement sécurisant. Je vous assure que votre père n’est pas la normalité. C’est une ordure et ce qu’il vous fait subir est abominable. S’il vous plait ne restez pas seule.

De tout coeur avec Vous.

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psionic
4 années plus tôt

Chère anonyme, cher nanar17, votre témoignage est sans doute l’un des pires de tous que j’ai jamais lu en deux ans de présence sur le site ! Vous êtes la victime d’un monstre incestueux qui a fait de vous son esclave sexuelle permanente avec la complicité de la psychiatrie ! C’est une des pires abominations dont j’ai connaissance, vous êtes en grand danger ma chère. Il nous faut vous aider. Sachez que l’inceste vise la mort psychique de l’enfant et sa fétichisation ultime par l’esclavage sexuel. Vous êtes en grand danger.

VOUS DEVEZ ETRE SAUVEE DE CE MONSTRE: IL FAUT VOUS EN ELOIGNER AU PLUS VITE ET LE FAIRE ENFERMER. C’est affreux à dire mais il vous faut faire des examens médicaux pour obtenir la preuve des viols incestueux de votre père…. Allez voir une gynécologue et faites un examen de l’anus voire par une proctologue: ce sont des médecins qui voient tout de suite les lésions dues à la sodomie. Je comprends, vous êtes dans la situation de la célèbre actrice allemande Nastassja Kinski que sont père, Klaus, lui aussi acteur, violait depuis toute petite.

1) Allons droit au but vous pouvez le signaler en ligne sur la plateforme suivante:

https://www.service-public.fr/cmi

Des gendarmes et des policiers spécialisés et motivés prendront votre signalement voire interviendront directement pour l’arrêter (espérons).

Vous avez également :
*Ministère de la justice: 08victimes = 01 41 83 42 08
numéro d’urgence permanent pour toutes les infractions de quelque nature qu’elles soient.

2) CONTACTEZ EN URGENCE LES ASSOCIATIONS D AIDES AU VICTIMES D INCESTE:

excellent site d’ailleurs, sur fil santé jeunes, une section c’est quoi l’inceste.
** l’AIVI (Association Internationale pour les Victimes d’Inceste) site internet:

https://aivi.org/

https://www.sos-inceste-violences-sexuelles.fr/
numéro vert: 02 22 06 89 03

ARSINOE – Liens Utiles
http://www.arsinoe.org/arsinoe-liens.php

l’Association Vivre Soleil Renaître est une aide aux victimes de l’inceste, de viol extra-familial, d’agressions sexuelles, …

http://www.vivresoleilrenaitre.org/

Je vous invite à consulter: réseau France victimes

http://www.france-victimes.fr/

numéro d’urgence: 116 006

appelez-les et consultez leur site pour obtenir de l’aide dans votre région.

3) En complément, je vous indique aussi les sites associatifs d’aides aux femmes victimes:

Associations de lutte contre les violences faites aux femmes
CFCV – Collectif féministe contre le viol
http://www.cfcv.asso.fr
numéro d’urgence: 0 800 05 95 95

FNSF – Fédération nationale solidarité femmes
http://www.solidaritefemmes.asso.fr

CNIDFF – Centre national d’information sur les droits des femmes et des familles
http://www.infofemmes.com

Femmes solidaires
http://www.femmes-solidaires.org

FDFA – Femmes pour le dire Femmes pour agir
http://www.femmespourledire.asso.fr

Fédération Nationale Solidarité Femmes: FNSF

http://www.victimedeviol.fr/associations.html

Stop violences sexuelles

http://www.stopauxviolencessexuelles.com

http://www.resonantes.fr/

4) vous êtes déjà trop psychiatrisée, et celle-ci vous maintient dans la maltraitance mais je me dois de vous indiquer de l’aide, une alternative:

Sites médicopsychologiques:
** site de l’institut de la victimologie vous avez un annuaire des associations de lutte contre le harcèlement dont l’adresse des centres régionaux:
http://www.institutdevictimologie.fr/annuaire.php

** site de Muriel Salmona: mémoire traumatique ; voir son article mémoire traumatique en pdf sur le site
https://www.memoiretraumatique.org/

** indiqué par Céline9: un site très intéressant d’ailleurs
https://www.cyrinne.com/

J’ajoute que les associations de victimes pourront vous faire rencontrer leurs thérapeutes.
Il nous faut vous sortir de cette abomination insoutenable.

La première étape c’est de le faire arrêter et la seconde vous extraire de cette horreur définitivement.

Comment se fait-il qu’on maintienne une telle abomination. C’est tellement révoltant.
N’hésitez pas à venir nous demander aide et précisions, nous ferons au mieux pour vous sortir de là. Louve va sans doute vous répondre prochainement.

Inscrivez-vous sur le forum et nous pourrons vous aider en direct par messages persos, sinon on reste par ici, pas de problèmes.

Affection, courage et soutien.

PS: merci beaucoup nanar17 pour avoir attiré mon attention sur ce témoignage abominable.

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Louve
4 années plus tôt

Chère Anonyme, Si je ne me trompe pas vous devez avoir aujourd’hui une vingtaine d’années. Je vous promets que vous pourrez vous reconstruire si vous acceptez de libérer votre parole. Je ne vais pas vous mentir. Il y aura des moments difficiles mais au bout il y a le respect de soi, la reconnaissance de son statut de victime et donc un premier pas vers le soin. Si vous continuez à taire l’identité de votre bourreau, vous risquez d’y laisser la santé. Si vous êtes seule, je peux vous promettre que je serai là.

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psionic
4 années plus tôt

Chère anonyme, Louve a parfaitement raison, vous pouvez trouver des personnes aptes à entendre votre souffrance et vous aider à enfermer votre tortionnaire de père ! Appuyez-vous sur les réseaux associatifs de victimes. Votre difficulté supplémentaire est que vous êtes psychiatrisée donc considérée comme handicapée. Vous pouvez contacter l’association suivante:
http://fdfa.fr/6-mars-lancement-officiel-du-n-dappel-telephonique-ecoute-violences-femmes-handicapees/
Il y a un gros problème avec votre prise en charge, c’est complètement défaillant, il nous faut donc vous aider au plus vite. Allez vers les associations et vers le signalement en ligne de votre tortionnaire.
Affection, Courate et soutien.

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nanar17
4 années plus tôt

Mon père m’a aussi fait quelque chose d’horrible , grâce à ce site j’ai pu le dénoncer vous pouvez aussi le faire.
Il y a mon témoignage sur ce site en ouvrant ma bouche j’espère aussi aider des victimes à se sortir de la manipulation, Psionic m’a aidée, je comprends aussi cette peur ancré de votre père que vous devez ressentir.
J’ai réussi à m’en sortir grâce à ce site et vous pouvez le faire on vous soutiens tous.
N’hésitez pas à vous confiez et cracher d’autres choses si elles vous viennent en tête.

Merci de remplir les champs obligatoires.



psionic
4 années plus tôt

Chères amies, mes hommages.
Chère nanar17 je vous remercie pour votre remarque délicate, comme je l’écris souvent, cette simple vérité vaut tous les honneurs du monde et me va droit au coeur. Je vous remercie chaleureusement d’être intervenue en postant, ainsi j’ai pu répondre à ce billet si abominable.
Chère anonyme, nous pouvons vous aider, nous ALLONS vous aider, comme l’écrivent justement nanar17 et Louve, vous pouvez sortir de cet enfer et n’hésitez pas à nous demander de l’aide nous sommes là pour vous aider. Si de nouveaux souvenirs surviennent n’hésitez pas à nous en faire part, en messages privés si vous le préférez. Je vous invite à noter tous vos sentiments et états émotionnels qui vous traversent, cela pourra être utile plus tard. Je vous invite encore et toujours à contacter les associations d’aides aux victimes d’inceste, votre cas est dévastateur et nous allons vous aider. Ensuite il faudra vous entourer d’un puissant réseau associatif et surtout d’un suivi ADAPTE. Le récit de votre expérience avec la psychiatrie est révoltant, on dirait de la psychiatrie maoiste ou soviétique, c’est révoltant et abominable, je crois comprendre à qui vous avez eu affaire mais j’attends des précisions de votre part.
Revenez quand vous voulez, et nous vous aiderons à élaborer un plan puis à le mettre à execution pour vous sortir de cette horreur.
De tout coeur avec vous.
Affection, courage et soutien à vous toutes.

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Lalou.
4 années plus tôt

Bonsoir à toi,

Ton témoignage me bouleverse. Il n’a pas le droit de te faire tout ça et tu n’as pas à subir.
Tu sais, maintenant tu as commencé à parler, tu nous as parlé à nous et on est là pour t’écouter.
La parole soulage, délivre. Ne reste pas emprisonnée dans un malheur, dans cette sordide situation qu’il t’impose. Personne ne mérite de vivre ce que tu vis.
Je te conseille d’aller voir des associations, elles ne sont pas là que pour te faire porter plainte elles peuvent être là pour t’écouter, te conseiller, t’aider à sortir de cette emprise.
C’est difficile mais tu y arriveras, un jour on se lève et on a l’envie de se battre. Cette envie reviendra, ta force reviendra, et, même si aujourd’hui cela te paraît impossible, les plaies s’atténueront et tu iras mieux.
Pour y arriver je pense qu’il faut que tu sortes de cette situation.
Tu as l’air majeur, si c’est le cas il n’a plus d’autorité sur toi et tu peux partir librement.
Libère ta parole comme tu as su le faire ici, avance à ton rythme et à ta manière. N’oublies pas que notre force sommeille toujours quelque part en nous, un déclic, un jour, et elle remonte à la surface.

Ta confession est aujourd’hui un grand pas vers l’avancée.

Je suis de tout cœur avec toi et t’envoie tous mes encouragements

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