J’avais 18 ans et je faisais un stage dans la maison de retraite Saint Joseph à LA CHAPELLE LA REINE (77). Là-bas, un vieux qui se permettait de me caresser les seins en toute impunité, j’avais envie de l’assassiner. D’autant plus qu’il me les caressait en complimentant ma poitrine, en me disant que mes seins était agréable au toucher ! Je ne me suis jamais senti autant humilier de toute ma vie. Ce pervers avait porté atteinte à ma pudeur à plusieurs reprise par ce geste déplacer, et bien sûr hors de la vu les aides soignantes. Ma main droite tremblait à l’idée de lui coller un gros coup de poing en pleine figure ! MAIS J’AVAIS INTERDICTION DE LE FAIRE, À DEFAUT DE ME FAIRE VIRER DU STAGE POUR MALTRAITANCE AUX PERSONNES AGEES ! En réalité, c’est moi qui je ne me sentais pas maltraité, mais une mauvaise note à mon stage signifiait pour moi de faire une croix sur mes études de BEP Carrière Sanitaire et Sociale et sur mon diplôme. J’avais 18 ans j’étais déjà majeurs, je savais que la situation était grave mais je le savais pas quoi faire ! Si je portais plainte les gendarmes risqueraient de juger cet homme irresponsable de ces actes, du fait que cette maison de retraite médicalisé abrite des malades d’Alzheimer. Même si les gendarmes le prendraient au sérieux, les aides soignante aurait pris ça défense ! Vu la réponse qu’elles m’ont sortie « C’est normal, il le fait à toutes les stagiaires, ne lui en veux pas dit-lui juste gentiment que ce n’est pas bien », c’était déjà mal partie !
Ce monsieur n’est pas un enfant ; en réalité il savait parfaitement ce qu’il faisait. Il était totalement conscience d’être un pervers. c’est mal je n’ai pas besoin lui dire, et je n’ai aucune envie de lui parler gentiment ! Ce vieux pervers avait parfaitement toute sa tête et il était très intelligent. Il savait qu’il était intouchable donc il en profitait ! Il en a de la chance de m’avoir rencontré dans une maison de retraite … Car si il m’avait fait cela dans la rue, je lui aurais sauté à la gorge et je lui aurais démonté la tête ! A chaque fois que j’y repense, j’ai envie de remonter le temps durant quelque seconde et de le fracasser ! Même plusieurs années après, je me sens toujours aussi salie pudiquement et je le resterai jusqu’à la fin de mes jours ! Ma pudeur a été atteinte et je porterai ce fardeau pour toujours …
Ce que je trouve hallucinant, c’est qu’il faisait ça avec d’autres aides soignantes et qu’elles trouvaient ça parfaitement normal. Il aurait mérité que tu le coinces tout seul et que tu lui mettes une main autour de la gorge pour qu’il arrête. Essaie simplement de te reconstruire et te pardonner: tu étais jeune et soucieuse de réussir ton parcours d’études