En 6éme, A. P. et A. C. on continué de poursuivre ce qu’ils avaient entreprit à l’école élémentaire ; mais ils était beaucoup plus agressif qu’avant. Exactement comme à l’école primaire ; ils me faisaient des déclarations d’amour ironiques, en exagérant énormément sur les mots, tel une pièce de théâtre. Parfois ils le faisaient en chanson en s’exprimant très fort, dans l’unique but de faire rigoler ceux qui se trouvait autour. A. P. et A. C. savaient que je ne pouvais rien faire contre eux ; ils me l’on déjà fait comprendre à l’école primaire et ils tenaient à le démontrer à tous ceux qui ne nous connaissaient pas. Ils me caressaient le visage, en me donnant des surnoms dans un langage amoureux et ironique ; du style “Poupée “/ “Ma chérie” / ” Ma beauté”/ “Mon amour” … Bien que je ne sois pas consentante, je savais que je ne devais pas me rebellée ; lorsque ces 2 garçons me tripotaient … Si j’avais l’audace de leur collé une gifle, ils n’hésiteront pas à me lynché et ils n’aurai aucune gène à frapper une fille ! Entre, subir des attouchement et subir des coup ; le choix étaient difficile.
J’avais trop honte d’en parler, parce-que je me sentais sale ; d’autant plus que si je me plaignais, je sais que ça serai pire. Ma mère serai intervenu au collège pour rencontrer le proviseur et la rumeurs aurai très vite circulé :
“La fille qui ne sais pas se défendre toute seule et qui se cache derrière sa maman, pour dire qu’on l’embête”
Je n’avais pas besoin de ce poids supplémentaire, j’avais bien assez honte comme ça ! Alors je n’ai rien dit …
C’était en 2002 au Collège Blanche de Castille à LA CHAPELLE LA REINE (77)
Si jeune… Cela me donne mal au coeur le monde est vraiment pourri