Mon patron détective privé, me touchait régulièrement les hanches où s’arrangeait toujours pour me frôler, me coller. Un soir après ma journée, il a prétexté avoir besoin d’aide avec son ordinateur . Je suis allée dans son bureau , il m’a dit qu’il allait se prendre une bière. Je me suis assise en attendant et j’ai regardé l’ordinateur. A son retour il s’est assis . Il a pris ma chaise et l’a tournée vers lui fermement. Il m’a dit qu’il me voulait ( je n’ai plus les mots exacts). Il a voulu me touchée et m’embrasser.Je me suis levée pour l’éviter, j’ai refusé. Il a alors verrouillé la porte. Je suis vite allée apeurée dans l’autre coin du bureau car la porte était à présent verrouillée. J’ai regardé si j’avais une autre issue, la fenêtre ou une autre porte, tout était verrouillé et non accessible. Je le fuyais en faisant des aller retour dans le bureau exigu. Plus je fuyais, plus il était exité. Son souffle était de plus en plus lourd et bruyant. A un moment je n’ai pas pu l’éviter d’avantage, il m’a bloqué dans le coin, m’a touché, léché l’oreille et m’a demandé de le masturber. J’étais terrifiée qu’il me frappe ou qu’il use d’une arme. Il ne semblait pas du tout maîtriser ses émotions et son excitation, c’était un animal, je ne voulais pas prendre le risque d’être frappée. J’ai vu les photos de ses enfants, j’avais envie qu’il les voit et qu’il arrête. Je n’avais pas d’autre issue, j’ai voulu en finir et je l’ai masturbé avec dégoût. Après qu’il ait joui, je me rappelle qu’il est allé au toilettes mais j’ai des trous noirs, je sais qu’il m’a emmené boire un verre et m’a ramené chez moi, mais j’étais comme anesthésiée , je ne pouvais plus penser. Je voulais juste être chez moi et me doucher.
J’ai continué à aller travailler par la suite, complètement perdue et déconnectée jusqu’à ce que je fasse une faute grave car je ne pouvais plus me concentrer. A ce moment, il m’a forcé à démissionner et m’a dicté ce que je devais mettre dans la lettre.
Je le soupçonne notamment de m’avoir mis sur écoute, je n’ai pas de preuves mais cela a rajouté de la peur de parler et un sentiment d’être épiée.
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