Ma fille de 7 ans a été dépucelée par un adolescent de 15 ans, O. M. dont les parents, nos amis à l’époque, se sont révélés tout aussi déviants ! Notre fille nous a parlé un an plus tard sur les conseils d’une copine plus âgée, au courant, également agressée mais sans le laisser aller jusqu’au bout. Quand nous avons prévenu les parents, ils ont déscolarisé leur fils plusieurs semaines pour qu’il ne parle pas !!! Nous avons alors fait un signalement. Au procès, un an plus tard, le viol (avéré par gynéco médico-légale) a été requalifié en agression sexuelle. Nous avons accepté car le but du signalement était d’aider ce gamin et d’éviter d’autres victimes, pas de l’envoyer en centre de redressement. Nous nous en sommes mordus les doigts : nous avons appris après que M. M. embrassait sa fille de 15 ans en public (langue incluse) et se vantait de sa totale liberté sexuelle. Où le bourreau devient aussi victime… Notre avocate était bien trop gentille, le leur un fauve et la juge, catholique, a fondu quand il lui a dit qu’il avait demandé pardon à Dieu !!! Aucune excuse pour sa victime malgré nos demandes d’une petite lettre pour l’aider à limiter les séquelles. O. M. a été condamné à 3 ans de suivi PJJ (rares entrevues avec un éducateur débordé… ). Nous avons appris par la suite qu’il n’a pas été interdit de bibliothèque où il passait la plupart de son temps libre. Les toilettes étant vastes et à l’opposé du bureau il a eu le loisir d’avoir des proies faciles laissées seules dans ce lieu sécurisant pendant les courses des parents… Pire il a continué d’encadrer des retraites week-end au catéchisme avec des enfants de moins de 10 ans, dormant avec eux, malgré l’interdiction judiciaire qu’il soit en contact avec des enfants ! Aucun contrôle ! En apprenant cette nouvelle j’avais pourtant mis le diacre de Saint-Girons (ancien gendarme) au courant ! Les parents ont alors fait courir le bruit dans notre petite ville que nous étions des procéduriers car notre fille et leur ado avaient joué à “touche-pipi”. Ce jeune homme était ce que l’on nomme un prédateur sexuel, il a aussi montré son sexe à notre fils et abusé d’autres enfants dont les parents n’ont pas souhaité porté plainte pour ne pas les traumatiser plus encore… O. M. a aujourd’hui une vingtaine d’année, vit sur la région Toulousaine, son casier judiciaire est maintenant vierge, mais plus notre fille de 13 ans qui vivra avec ça toute sa vie. Attention, ce jeune homme n’a donc été ni soigné, ni suivi…
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