Je suis hébergée chez un tiers qui souhaite me faire payer cet hébergement contre rétribution sexuelle.
Je sollicite des interlocuteurs car la situation est critique, mais je n’ai pas de retours.
Parmi ceux que je sollicite, une élue en charge d’un service social, notre Chef de l’Etat.
Qu’est-ce qui est le pire, entre le comportement du tiers, et celui d’une femme, élue, qui devrait venir à moi compte-tenu de mon insécurité ? ?
Quid de notre Chef de l’Etat, qui ne me répond pas avec réactivité et dont le staff (féminin) me raccroche au nez lorsque je me manifeste par téléphone ? ?
Je rappelle à mes interlocuteurs qu’il fait froid, mais cela n’émeut pas, d’être face aux “choix” entre Rue ou Pute….
Moi aussi j’ai vécu ça, c’est le comble que cela existe encore, nous ne sommes pas au moyen âge ! Avez vous des associations d’aide près de chez vous ?
Difficile de vous aider, les dispositifs d’hébergements étant saturé, partout en France des enfants, des femmes et des hommes dorment dehors…La moindre “fragilité” temporaire ou permanente est un facteur de risque aggravé d’abus de toute sortes, de par ces abuseurs qui pullulent partout ! Vous dites qu’il souhaite, est-il possible de “négocier”? De verser une part financière afin qu’il abandonne ce désir de paiement en “nature” ? Si vous n’avez pas d’argent, pouvez-vous négocier des petits travaux, ménage, cuisine, lessive, repassage ? Je ne vois malheureusement pas quoi vous dire d’autre, car si vous êtes dans cette situation, je suppose que c’est parce qu’aucun de vos proches n’est en mesure de vous aider…Il faut taper à toutes les portes, allez voir les associations de lutte contre la prostitution, en cas de danger, elles peuvent intervenir et héberger les personnes quand elles ont de la place…Voir aussi Emmaüs, eux-aussi hébergent les personnes en précarité…Ces places ne font pas partie des places proposées par le 115, car elles s’adressent à des publics spécifiques…Vous ne dites rien de votre âge, mais si vous avez moins de 25 ans, tentez la mission locale pour les jeunes …
C’est le réseau associatif qui est à l’origine de ma situation, de même que des services et assistantes sociales. La détresse est provoquée, et beaucoup de personnes en insécurité sexuelle sont en insécurité car elles sont exposées. En m’exposant on donne sur autrui un pouvoir sur ma personne sans lequel le tiers n’aurait pas ce comportement.
Merci pour votre intervention, je me sens moins seule, alors que personne ne se gêne pour me culpabiliser, les associatifs et sociaux qui croulent sous les budgets collossaux …
Mes proches choisissent de me jeter…
Le 115 est très peu clair, constitué d’ultra-gauchistes qui mettent dehors selon le type et autres critères discriminants …
Bonne idée les assoces de lutte contre prostitution, si toutefois elles n’ont pas de liens avec les services sociaux ? – car ce sont ces services qui sont à l’origine de ma situation.
Elles appellent cela 1 “Politique d’Aggravation Volontaire de Situation” (PAVS). Avec les impôts et taxes directes et indirectes, nous les entretenons tous, la Vermine qui prive de leurs droits les personnes à limite financière, pour asseoir leur pouvoir et exposer autrui pour servir leur sadisme …
Sinon oui, je suis claire depuis le départ : cuisine, ménage, bouffe, et aussi j’ai prévu de faire dédommager le tiers via son statut de victime indirecte (je suis plaignante dans l’histoire, car j’ai porté plainte pour la PAVS, ce qui donne ce statut de victime indirecte aux bons samaritains qui portent le poids de ma charge, le temps de régler ( peut-être ? – ) la situation avec la Justice.
Mais il me dit que je suis têtue, car si je couchais, je ne mourrais pas dans les jours qui viennent, de froid et d’épuisement.
Ce matin, il m’a rappelé que je devrais m’habituer à manger moins, en prévision de ce qui m’attends. La venue de ma mort n’émeut pas – n’oublions pas que c’est de ma faute. Le refus de putasser relève bel et bien de mon choix, Salope !
@... Clémence : Quand vous avez vécu ça, comment avez-vous réussi à sortir de l’impasse ?
“comment avez vous réussi à sortir de l’impasse” : rien de glorieux, rien à conseiller, j’ai fait des choses qui on fait qu’on a eu peur de moi, ceux qui en voulait à mes fesses ont fini par laisser tomber, j’ai également fait du chantage à la divulgation d’information et plein d’autres trucs pas glorieux, et puis j’étais jeune et j’ai rencontré quelqu’un que j’aimais vraiment ce qui m’a tiré d’affaire car quand on est deux c’est parfois plus facile.
Ce que vous dites sur les services sociaux est vrai, ils prospèrent eux sur votre misère et plus vous avez faim et froid mieux ça va pour eux, rien à ajouter ou si : en FRANCE le délit de pauvreté existe de toute évidence.
Je ne dis nullement que c’est de votre faute, je n’ai pas malheureusement pas de solution à votre situation, en attendant dites à votre hébergeur que vous souffrez d’Herpès et peut être vous laissera t’il tranquille. désolée pas de solution
Chère Claire, étant donné le caractère critique de la situation, j’ai demandé à mes consoeurs, l’une d’entre elles suggère ceci:
Permanence contre les violences masuclines à la maison des femmes.
Gratuite, anonyme et confidentielle,
la permanence aura lieu tous les
Mercredis à partir du 15 novembre de 17h00 à 18h30
à la Maison des Femmes de Paris
163 rue de Charenton 75012 PARIS.
Métro Reuilly-Diderot, ligne 1 et 8
TEL et SMS : 06 73 72 43 84
Il y a le Fit égalment
01 44 54 87 90
[email protected]
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/le-FIT
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@assoFIT
Courage et tout notre soutien pour sortir de cette situation abominable.
Désolée Claire, mais voyez vous je suis assistante sociale moi-même et aucune des personnes que j’ai suivies ou épaulées, ne dirait de notre service ou de moi ce que vous dites de ceux que vous avez côtoyés…Il ne faut jamais mettre tout le monde dans le même sac, faire des généralités, en faisant cela, vous vous fermez vous mêmes des portes qui pourraient vous être utile…Perso, je vois encore de temps en temps, par amitié, des gens que j’ai rencontré dans le cadre de mon travail, et avec qui j’ai collaboré afin qu’ils arrivent à avancer et à s’en sortir…Un monsieur me disait en riant, l’autre jour; “Si j’écoutais ma femme, je mettrais une photo de vous en grand, sur le mur du salon…” Je ne suis pas fonctionnaire, c’est un choix car je trouve le cadre trop contraignant, de nombreuses collègues fonctionnaires, sont contraintes d’exécuter des ordres qu’elles n’approuvent pas…Elles sont nombreuses à aller mal, à culpabiliser car elles n’ont pas les moyens d’aider les gens, les mots dans les situations de grande détresse ne suffisent pas pour régler des situations dramatiques. Mais que faire quand on ne vous donne pas les moyens de mener vos missions ?….Dans quelques mois je serais en retraite et je m’organise afin de revenir en tant que bénévole, car cette collaboration va me manquer autant qu’a eux…Notre rôle n’est pas d’assister les gens, il est de collaborer avec eux, pour cela, il faut être deux, la confiance de part et d’autres est indispensable…Avec certains c’est possible, avec d’autres ça ne l’est pas, perso j’y arrive toujours, mais j’ai plus de 40 ans d’expérience et j’ai fait des tas de formation en psy et autres… Encore faut il avoir le temps, parfois il faut des mois de rencontres, avant que l’autre vous accorde sa confiance…Petite confidence, ma fille aînée me dit que je suis une bonne assistante sociale, parce que les gens ressentent que je les comprends vraiment, parce que moi aussi j’ai beaucoup souffert, elle a sûrement raison…Ne vous fermer pas les portes en étant trop négative, sinon vous risquez de rater la main qui se tendra vers vous…Il suffit d’une bonne rencontre pour s’en sortir…Le conseil de Clémence me semble bon aussi, le coup d’avoir des maladies sexuellement transmissibles, me semble un bon moyen de vous protéger des velléités de cet homme, le contre chantage aussi, l’enregistrer en train de vous faire du chantage sexuel par exemple …..Mais il faut vous sortir de cette “emprise”, et pour cela aller frapper à toutes les portes, sans y renoncer du fait d’apriori pas forcément fondés !
Là encore, le 115 fonctionne selon des directives, il y a des “quotas” en fonction des situations, et des durées limites de prise en charge…Les places doivent tourner, les travailleur sociaux n’y sont pour rien, ils doivent suivre les consignes, croyez moi, les “gauchistes” se battent becs et ongles, au niveau des syndicats pour essayer de faire bouger les choses de l’intérieur, sauf que de plus en plus, d’année en année, le social doit répondre à des objectifs de rentabilité…A SUD on appelle cela le social-discount…Là aussi c’est la course au mieux disant et cela ne cesse d’empirer…La marchandisation, aujourd’hui à mis un pied dans le social, au détriment des populations suivies et des salariés, on a vu ce que cela donne avec les maison de retraite …et cela ne fera qu’empirer…Des 2 côtés de la barrière, on est tous dans le même bateau, et le bateau coule !
Faites gaffe de ne pas trop en rajouter non plus dans les maladies. Qui plus est, cela n’arrête pas forcément certains de ces malades. Mais il me semble que le pire des risques est qu’il vous foute dehors à l’instant où vous lui dites. Vous seule êtes à même d’estimer le risque même si avec ce genre de malades on doit s’attendre à tout. Cette pourriture est tellement ignoble qu’il veut vous affamer en plein hiver. Dès que j’ai du nouveau de mes consoeurs, je vous en fais part.
C’est sur que dans une telle situation Claire, vous êtes la seule en capacité de juger…, car nous ne pouvons pas vraiment évaluer la situation avec le peu que vous nous dites, mais je réédite mon conseil concernant les association de lutte contre la prostitution, quitte à en rajouter un peu, style, il veut des faveurs sexuelles et puis il me présente ses copains avec des sous-entendus… J’ai pu faire aider une femme une fois comme ça, rien n’étais prouvé, il n’y a pas eu de plainte de sa part, mais par contre j’avais témoigné en tant que travailleur social, car j’avais été moi-même menacé par son ex-ami et j’avais porté plainte…Cet homme était connu des services de police, comme trafiquant de drogue et il ne voulait pas la lâcher…En fait il n’avait jamais menacé de la mettre sur le trottoir, vu qu’il était amoureux d’elle, j’ai un peu “extrapolé”, mis en avant le risque qu’il la mette sur le trottoir ou qu’il la vende, par vengeance, …Maintenant cette femme magnifique est vendeuse dans des boutiques de luxe à Megève l’hiver et à Saint-Tropez l’été, auprès des oligarques russes, vu qu’elle parle cette langue ! Le contre chantage renverserais aussi la position de force, si vous avez un enregistrement de lui vous faisant du chantage, et que vous menaciez de porter plainte, ou a ses proches, il serait coincé, mais cela demande un certain “aplomb”, pas facile dans votre situation…Vous nous demandiez des idées des conseils, il y a le canal officiel et puis les autres moyens un peu “limite”, que parfois on doit utiliser pour s’en sortir face à des personnes de cet acabit ! Parfois qui veut le résultat veut les moyens ! Face à la pression , seule une “contre-pression”à des chances de fonctionner ! Obtenir des preuves permet cette contre-pression…
sinon hébergement en foyer de jeune travailleur, emplois dans les fast-foods (mal payé mais moins d’heure qu’un temps plein , laisse le temps pour les démarches) chambre de cité U, sous location chez personnes bienveillantes, il y a des solutions temporaires de débrouille mais ça dépend beaucoup de l’endroit, de l’âge, du hasard et aujourd’hui la concurrence est rude même pour ces places là …
A t’il le droit de vous mettre dehors en plein hiver ? N’est ce pas de la mise en danger d’autrui ou de la non assistance en personne en danger ou autre chose dans ce goût là ? Il y a pas des juristes qui lisent ?
idem pour vos proches, ont ils le droit de vous “jeter” n’est ce pas de la mise en danger d’autrui, non assistance en personne en danger ?
soyez vigilante, verrouillez la porte de votre chambre, repérez les objets usuels qui peuvent vous être utiles pour vous défendre, gardez les à portée de main, ayez votre tel portable tjrs prêt à appeler les secours, a photographier, a filmer, a enregistrer à portée de main, essayez de savoir s’il n’a pas un point faible, revenus dissimulés ou autres que vous pouvez utiliser comme moyen de pression, soyez vigilante des que vous êtes proche du domicile, à l’entrée, à la sortie et surtout cherchez un autre hébergement
pour les petits boulots, vous pouvez aussi mettre des annonces sur les sites de jobbing en proposant menus services : garde d’enfants au domicile des parents, couture, repassage, ménage etc je ne connais pas vos aptitudes, vous serez rémunérée, ces sites sont encadrés, soyez prudente quand même
Oui, mais mon souci ne sont pas les quotas. J’ai été jetée illégalement d’1 asso d’hébergement en raison de mes origines, à l’initiative du responsable … La référente 115 a contacté la Préfecture pour prétendre que j’avais trouvé 1 logement, et a ainsi bloqué mes dossiers Dalo et Pdalptd (dispositif départemental préalable au Dalo et représentant 1 forme de Dalo) etc etc : je ne suis pas soumise à des directives, mais à des choix de la part de ceux qui choisissent d’exposer autrui et d’enfreindre la Loi (mise en danger de la vie d’autrui) et le Parsa (Plan qui interdit la mise à la rue de toute personne qui se retrouve ds 1 structure d’hébergement) … Certaines personnes ont un profil administratif qui rapporte plus aux associations, d’où les jetages de certain(e)s… J’ai officié dans le réseau associatif d’hébergement et j’ai vu de quoi le personnel est capable … Sans le social il n’y aurait pas de problèmes … C’est du business tout ça comme vs le dites, et des interlocuteurs comme les criminologues, policie(è)rs, travailleurs sociaux de formation eux-même en soulignent la dangerosité … Pas pour rien si ts les pervers d’1 ville viennet rôder près des lieux pour femmes .. Quel drôle de monde .
Votre profil, landalouze n’enlève rien à celui des autres. Le souci est que tout nouvel interlocuteur souhaite d’abord savoir d’où l’intéressé vient, afin de se mettre en relation dans son dos avec l’interlocuteur d’origine, pour reproduire les précédents … S’agit-il d’un choix ou de directives ?? : j’avoue ne pas comprendre ce besoin d’acharnement.
Oui, je me demande. J’attends la réponse d’une asso de victimes.
Logiquement, je devrais aussi être hébergée aux frais de mon proprio, qui m’a jetée violemment car je me suis plainte de lui et des ses assistantes sociales (proprio et ses assistantes sociales qui aggravent volontairement ma situation = 1 Conseil Départemental, pour donner 1 idée de la gravité de la situation).
Merci pour vos conseils en tout cas. On sent 1 sincérité et 1 bienveillance réelle chez vous, rien à voir avec ceux et celles auxquel/ls j’ai eu affaire. Je frappe à toutes les portes, mais pour l’instant rien ne marche, et vu que c’est le week, c’est le stand by. J’attends votre réponse sur le pourquoi de la mise en relation avec l’interlocuteur social précédent : ds les cas de violences de la part des référents, c’est dangereux.
Le Département dont je dépends interrompts le versement du RSA sur la base de dénonciations calomnieuses de ses assistantes sociales, et ma famille pas ne veut m’aider, alors que plusieurs membres ont un bon réseau (réseau politique notamment) : mon insécurisation vient de là. En me privant d’un minima on me prive des autres droits, qui sont connexes, et je ne peux plus rien faire (style me déplacer car je n’ai plus de titre de transport).
C’est aussi ce même Conseil Départemental qui a décidé de m’expulser illégalement.
Il a aussi mandaté des huissiers pour ponctions sur mon compte bancaire, tt en me sucrant le RSA. Ce qui me rend dépendante économiquement et m’expose bien sûr. Le vrai Porc ds mon cas est un Département … qui a pour mission la protection, l’hébergement, le logement ..
Je réponds sur le fil le plus récent, pas forcément dans le sujet.
Etes-vous en mesure de donner le département du Conseil qui vous persécute ainsi. Peut-être ai-je des connaissances dans le coin. Autre suggestion, un peu décalée, mais il faut tout envisager, avez-vous dans le coin un carmel ou une assoc de pélerins qui pourrait vous héberger, ce serait peut-être une solution meilleure que des foyers. Un carmel est idéal, vous pouvez demander d’y faire une retraite, ce qui semble tout à fait adapté. De plus mieux vaut cottoyer des soeurs que des sdf et autres. bien à vous.
Autre sujet, pour les sites d’annonces de travaux, FAITES extrêmement attention, POLE EMPLOI est une vraie catastrophe: c’est truffé d’arnaques !!! ATTENTION donc. C’est pareil pour les autres sites. Ne consultez pas dans les heures creuses, de nuit: c’est l’heure où les fraudeurs, arnaqueurs et autres ordures postent leurs arnaques, le nombre d’annonces atteint des sommets mais c’est bidon, même ces connards de broutteurs ivoiriens s’y mettent. Faites attention à vous. Courage. S.
au point ou vous en êtes allez y balancez le numéro du département qui vous a fait cela qu’on y aille pas et histoire de bien leur mettre la honte, sinon ne faites confiance à personne pas même aux religieux
Oui, un carmel serait une idée, mais ce genre de choses ne marche plus depuis longtemps… Les foyers c’est l’horreur aussi ; il y a les violences des éducateurs spécialisés qui volent les hébergés, les détruisent psychologiquement, les privent du droit d’aller et venir … Une horreur. Je crois qu’il n’y a pas de solutions … 🙁
Non, la famille a des obligations (obligation alimentaire), mais je suis perçue comme une charge financière, comme pour le Conseil Départemental. Je pense qu’ils préfèrent tous que je meure, comme ça, bon débarras …
Ne dites pas cela Claire, cela vous rendra pire votre situation si difficile. Voyons, voir, avant tout évitez les zad, quatts, garnis et autre foyers, c’est l’anomie la plus totale. Une connaissance, un collègue, même éloigné ? Où en est la pression de votre porchébergeur ?
Hhmmm, je tente de trouver une prise en charge de mes frais d’hébergement via le réseau Sarvi ou Civi, à l’attention des victimes.
Je ne peux retourner chez moi compte-tenu de violences de la part de mon proprio, qui crochète toutes mes serrures pour s’incruster, me voler, m’agresser, ce qui me donne logiquement des droits en qualité de victime de violences se trouvant en conséquences dans une détresse matérielle et psychologique grave.
Je m’en prends plein la figure par l’hébergeur, qui adore être odieux. IL s’en prend ainsi mm à son entourage, mais moi c’est pire de chez pire bien sûr.
Voilà ; j’attends une réponse de la juriste de l’asso, et sinon, je ne vois pas ce que je peux faire …. Qd je dis qu’ils préfèrent tous que je meure, c’est vrai. De la sorte, plus de risque de nouvelles plaintes de ma part, donc c’est la tranquillité pénale pour eux tous. Je ne fais que dire ce qui est …
Je vois Claire, vous avez un foutu thénardier tortionnaire insupportable qui vous persécute. Il reste une dernière option qui vous permettrait d’en échapper, mais qui comporte des risques d’une autre nature. Vous pouvez demander d’être internée dans en hospitalisation libre dans une maison de santé. Ce n’est pas très drôle mais cela peut s’avérer la dernière option. Si vous entrez en libre, vous pouvez demander à sortir quand vous voudrez. Cela vous permettrait de vous éloigner de vos tortionnaires tout en gardant contact avec l’association. Le risque est de vous retrouver sous d’autres formes de pressions de la part des autres malades. Conseil: évitez le public, c’est un enfer permanent. Sinon, n’hésitez pas à insister régulièrement auprès de l’association. Vous pouvez aussi voir s’il n’y aurait pas un SEL dans les environs, mais le risque est de retomber dans une configuration type, squat, foyer, etc. Restez confiante, la période est mauvaise, on vous trouvera une solution. Courage.
Oui, je vois votre logique, mais comme vous le dites je risque de me trouver sous d’autres pressions, de la part du personnel, qui se mettra à priori en relation avec les assistantes sociales à l’origine de la situation. Le personnel de ces lieux fait partie des mêmes réseaux (syndicaux) que ceux dans lesquels gravitent les sociaux. La collusion Conseils Départementaux/Préfectures est très préoccupante et se fait au détriment des victimes, souvent diabolisées, et définies comme délirantes si elles sont la proie des sociaux, comme c’est le cas pour les personnes à capacité financière limitée. De plus, il y a gros de pervers sexuels ds ces lieux. Et, sans connexion, je ne vois pas comment communiquer avec l’asso …
La juriste me dit que le Sarvi/Civi ne débloquerait pas d’argent pour frais d’hébergement, ce qui ne correspond pas à ce que m’avait dit 1 membre de la Civi… J’attends de savoir quelles autres aides je pourrais peut-être avoir car je remplis la condition d’avoir 1 procédure en cours.
J’ai aussi des besoins alimentaires, que je ne peux assumer via 1 petit boulot, car je suis soumise à de nombreuses limites, ne serait-ce que cette histoire d’hébergement.
Côté squatt, un squatt artistique ou politique ça peut encore aller, mais il faut être introduit je pense …
Rester confiante j’ai du mal je l’avoue … mais vos interventions sont 1 soutien, important pour tenir le coup face aux attaques verbales, crises subites, et risque de jetage violent. Merci à vous.
Pour votre sûreté au quotidien, je vous conseille de porter un pantalon serré avec une bonne ceinture, de préférence avec grande boucle fermoir métallique. Sinon laissez tomber les maisons de santé privées. Il faut une super mutuelle et un médecin qui vous protègera, une relation qui se bâtit sur une certaine durée. En attendant la réponse de l’association. Bon courage.
Les maisons de santé privées sont pourtant la Rolls de ce genre d’endroits, du moins pour certaines. Rien à voir avec les camps de concentration du public. Mais je ne vois pas ce qu’il faut raconter : le motif officiel ne peut pas être celui de la situation réelle. De plus, je ne vois pas ce qu’un médecin peut faire ?? Il n’a pas le pouvoir de débloquer du fric pour assumer la charge d’un hébergement ? ?
Parfaitement d’accord sur les dépotoirs du public, vous y trouverez le pire de notre temps. Sinon, le motif ne peut être que de santé, mais vous pouvez manifester un besoin d’hospitalisation libre pour souffrance psychique. Vous pouvez aussi glisser en aparté cet aspect de votre situation réelle, que vous êtes en danger de viol permanent. Au mieux, il pourra peut-être vous dépanner en vous hébergeant gracieusement, ou en facturant seulement les soins. Naturellement, il ne pourra rien pour les questions d’hébergement. Il peut cependant vous éloigner de l’agresseur s’il y consent. Tous les autres risques évoqués précédemment peuvent survenir mais avec une moindre probabilité que dans le public. Généralement dans ces cas là, vous pouvez jouer le mutisme, mais vous serez forcément avec quelqu’un. En outre, vous aurez quelques pervers à gérer mais vous savez sans cela. Cependant, les maisons de santé ont aussi des réseaux d’hopitaux de jour, ou de petites unités et les cmp, lesquels peuvent contourner ce que vous cherchez à éviter.
S’il n’existe pas de possibilité de financement pour 1 hébergement, je ne vois pas l’intérêt de mettre ma santé mentale en péril, en me fourvoyant avec des psys. L’hébergement gracieux en insécurité totale cela s’appelle aggraver une situation, qui est déjà plus que critique.
La seule soluce est le financement hébergement, mais à ma connaissance seuls des trucs de type Sarvi/Civi peuvent aider vu que je suis ds une situation de violences, sauf que les assos de victimes ne donnent pas les infos sur ce qu’il faut faire pour cela. Idem pour les TGI.
Je ne vois AUCUNE solution….
Je suis dans un village où un français vit dans sa voiture. Si nous étions migrants, nous aurions l’hôtel payé par l’Etat, mais nous sommes très méprisés.
A ce stade, on devrait nous offrir l’Euthanasie, ça éviterait le martyre du mourir de faim et d’épuisement.