Quand j’avais 17 ans, je fréquentais un bar de Besançon. Un homme qui avait la quarantaine, une grosse moustache, gros ventre et bien plus costaud que moi me faisait des clins d’oeil que je prenais pour de la simple complicité, alors je lui répondais en souriant, sans me douter de la dimension sexuelle des choses. Un jour, alors que je rentrais dans ce bar, il s’est posté sur le pas de la porte et a profité du fait que j’ai dû me glisser de profil dans le peu de place qui restait pour me mettre sa main entre les fesses, si fort que j’en ai été soulevé. J’ai hurlé, mais il a continué à me maintenir en l’air avec ses doigts plongés entre mes fesses et personne ne m’est venu en aide, je crois qu’ils faisaient bloc avec mon agresseur … Quand j’ai résussi à me dégager de son étreinte, il continuait à me regarder avec sous sourire lubrique et à me faire des clins d’oeil, pendant que les autres me regardaient impassiblement. Je n’ai pas porté plainte car j’avais honte d’aller à la police pour dire qu’un homme m’avait convoité sexuellement et fait ce geste intime
C’est à ce bonobo en rut d’avoir honte de ce comportement immonde. Encore j’aime les animaux,je ne veux pas insulter les bonobos. Avec ce genre d’individus en liberté, on se sentirait d’avantage en sécurité enfermée avec “30 BONOBOS EN RUT. Eux au moins ils nous respecteraient.