Dans le cadre d’une formation, j’ai eu la « chance » de tomber sur Bruno, motard, spécialiste de la béquille, et pas que de celle de sa moto.
Avec lui c’était partout : dans la salle de bains, au lit, contre la porte, etc. Un jour pour faire autre chose, je lui ai proposé de prendre un bain avec lui. Ni une, ni deux, son sexe me rentre encore dedans sans que j’ai eu le temps de protester. Sans préservatif, de surcroît.
« T’inquiète pas, quand on dormira ensemble, je te ferai l’amour dans ton sommeil, ça ne te réveillera même pas ».
En sortant du bain, je m’assois sur le bord du lit, en essayant de me rhabiller et en lui disant que c’est fini entre nous deux, que je ne veux pas avoir à faire à ce porc le restant de ma vie. Pas le temps d’être en pantalon (+ ceinture de sécurité désormais) qu’il me glisse encore son sexe.
La justice considérerait-elle cela comme deux viols ? Je ne sais pas mais la fois où je me suis retrouvée enfermée au commissariat de Lyon avec 3 policiers qui me tutoyaient et me disaient des cochonneries, j’ai bien senti que ce n’est pas en la justice que je pourrais avoir confiance. « Vous voulez porter plainte ? Ah désolés, il est 17 heures, on a fini notre journée, on vous rappellera. »
Ça fait 11 ou 12 ans que j’attends que le lieutenant me rappelle.
Posté dansAu sein du couple
Excuse-moi mais tu as l’air pendant un temps au moins, d’avoir connu et peut-être apprécié son « ardeur », puisque tu dis que c’était partout et qu’un jour… Il faut savoir ce que tu voulais, si c’était trop tu devais le savoir rapidement et partir… Non là ton histoire elle prête surtout à rire… Mais la prochaine fois évite les étalons si c’est trop pour toi…
A tout instant une femme même mariée à le droit de dire non. A partir de là c’est un viol conjugal. Je te comprends et te soutiens.