J’avais 15 ans , très ignorante des choses de la vie, élevée de façon protégée. C’était un week-end de printemps au moment des 24 h du Mans en 1965.
Le dimanche vers 17 heures, je suis dans le centre ville tout près de la maison; pourquoi étais-je seule ? pour faire un tour….
Un monsieur assis dans sa voiture ouvre la portière de l’autre côté et me fait signe de m’approcher comme pour me demander quelque chose. Je m’approche sans penser à mal, trop naïve, croyant rendre service. C’est alors que le monsieur me retient, appuie sur ma tête, je ne comprends pas, je veux partir, je ne peux pas ; il me traite d’idiote, m’éjacule en plein visage. Je suis écœurée par la substance visqueuse blanchâtre, odorante comme une bave de crapaud. Je suis rentrée à la maison mais je n’ai jamais rien dit à personne. (Faux : 5 ou 8 ans plus tard j’en parle au psychiatre que j’ai consulté pour aller mieux.)
“Je suis écoeurée par la substance visqueuse blanchâtre, odorante comme une bave de crapaud.”
Et bien comme ça ils sauront maintenant ce que pensent leurs épouses, et pourquoi elles partent qd ils cessent de payer les factures.
Ma femme elle aime bien mon sperme. Faut pas tout confondre. Tout dépend du contexte. Je plains beaucoup les victimes, mais les commentaires des idéologues féministes bas de gammes abaissent ce mouvement…