Je travaillais de nuit en tant qu’infirmière avec un collègue particulièrement insistant de telle sorte que je craignais d’avoir à travailler avec lui. Sombrant dans la dépression, j’ai fini par en parler avec une surveillante qui s’est mis à lui crier dessus, qu’il y en avait marre de lui et de ses agissements… J’ai appris que sa femme s’était faite muter de honte dans un autre hôpital… que des infirmières qu’il entreprenait et faisait chier avaient été mutées dans d’autres services etc… Que croyez vous qu’il arriva?… Il est allé se plaindre à l’équipe de jour de la difficulté de travailler avec moi… lui était la victime et moi la bourrelle… et cela a marché… l’équipe s’est retournée contre moi et les femmes ont été les plus méchantes. Personne ne s’est enquis de connaitre ma version… Ces infirmiers vous planifient la faute professionnelle et j’ai perdu mon poste… Ce type je l’appelle Georges la queue en feu… C’était il y a 30 ans… et je m’en souviens comme un évènement de la veille. J’ai contacté le surveillant chef qui m’a considérée comme une semeuse de merde qui pose des problèmes. Je suis restée fort effrayée de voir la situation se retourner contre moi…. Toute ma vie professionnelle j’ai été regardée avec suspicion… On me faisait savoir le désagrément que l’on avait à travailler avec moi, sans que l’on me dise à propos de quel comportement litigieux… J’étais accusée avec un regard suspicieux qui me rendait coupable d’une faute jamais désignée… Je ne comprends pas la nécessité de protéger les malfaisants et de s’encombrer d’eux en leur attribuant des postes de cadre. Ah oui, c’est pour sauver l’honneur de l’administration…
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J’ai une collègue infirmière à st anne Mont de marsan qui a connu et subi cela pendant plus de 5 ans
courage
parano ça se soigne
Arrêtez les filles, c’est d’abord un problème de comportement, moi je remets tout de suite a sa place les gens qui dépassent la limite que je fixe, peut être que vous ne savez pas gérer.
donc vous ètes responsable.