Fac de droit Assas, hôpitaux, etc. hauts lieux du non droit
Vers 1984, les étudiantes d’Assas étaient obligées d’aller à l’oral d’examen en jupe ou robe car sinon, le prof les recalait systématiquement.
Idem pour le 1er stage de médecine d’étudiantes à Paris : le prof ou chef du service interdisait les pantalons !
Vers 1997, une doctorante a été obligée de partager sa chambre d’hôtel avec son directeur de thèse, en droit, lors d’un colloque : il avait fait exprès de ne réserver qu’une seule chambre et elle s’est retrouvée trop tard devant le fait accompli.
Vers 2011, pour candidater dans un Master 2 d’Assas, un autre porc (ou le même ?) imposait une photo en pied des étudiantes, sinon, elles étaient sûres de ne pas accéder à ce M2.
Les parents de ces étudiantes sont complices aussi, des porcs aussi, donc. CQFD.
Rappelons un extrait du top 10 des métiers où il y a le plus de psychopathes : avocat, chirurgien…
J’ai connu un truc similaire à Nanterre, même période, vers 1986. Un petit porc d’enseignant de droit dans l’UFR d’éco pratiquait ce genre de trucs. La seule chose dont je me souvienne c’est qu’il notait les étudiantes deux fois plus en moyenne que les étudiants. J’ignore par contre s’il allait plus loin dans les pressions ou si c’était du simple favoritisme pour faire son petit vieux beau avec les étudiantes. N’oublions pas que les porcs de cette époque étaient issus de l’immondice libéral-nihiliste soixante-huitard qui consistait à vendre la prédation sur le féminin pour de l’émancipation. Je connais bien l’affaire car j’ai grandi dans ce cloaque.
Tous mes encouragements et mon soutien.