Violence…pourquoi les plaintes n’aboutissent pas
Je suis une fille issue d’un viol d’un gendarme violent sur sa femme, qui tapait là où ça ne se voyait pas. J’ai vécu les menaces avec arme, les violences, le climat angoissant ou on marchait sur des oeufs, puis la plainte pour violences que le gendarme local a classée sans suite à mes 17 ans (évidemment, on protège les collègues ! et se faire traiter de menteuses). Re-plainte dans une autre gendarmerie et le gendarme, un gradé intelligent, a obtenu l’aveu des “gifles” et des menaces avec arme. Malgré ça, il a été relaxé, faute de preuves directes! De plus, connaissant les rouages de la gendarmerie, c’est un expert en faux documents en faisait peser sur nous le soupçon d’un motif de plainte pour obtenir de l’argent. Ma mère vient de mourir, elle a été toute sa vie d’après en dépression, avec des crises de paranoïa (“je te retrouverai partout”) et du coup, terrible envers moi aussi. Un conseil, si vous êtes violentées, faites constater par un médecin A CHAQUE FOIS. A quand le soutien aux enfants victimes de ces familles ou un PORC sévit?