C’était en troisième, durant un voyage scolaire en Espagne, un des correspondants semblai comme obsédé par moi et a toujours eu des mains baladeuses à mon égard. C’est comme si je sentais encore des brûlures sur ma peau. J’ai essayer d’en parler à mes camarades, personne ne m’a cru, car « il ne pourrait jamais faire ça, c’est un garçon trop silencieux ».
Il l’oubliera, moi non.
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