Viols : Ruralité, dur travail, emprise et promesses
Ce bel homme musclé, en fausses larmes à cause de son travail, à cause de sa femme, un proche des animaux et de la nature, on fait connaissance. Il n’est pas loin de la retraite aujourd’hui. Il passe souvent devant la maison, il aime son apéro, il dit m’aimer, vouloir quitter sa femme, vivre avec moi. L’emprise se noue, c’est un cachotier notoire, qui trompe sa femme depuis toujours (je l’apprends bien trop tard), il change de véhicule de travail ou de véhicule personnel, pour mieux tromper, pour venir en cachette les après-midis, mais il vient se garer devant la porte quand il vient prendre l’apéro. “Je ne fais que prendre l’apéro, si on te pose la question”. Les rapports sexuels se dégradent au fil du temps, il n’a pas le temps, il travaille trop, il n’a aucune considération pour l’autre , il vient juste “se vider les couilles”. Il ne sait pas caresser, il s’y prend mal, aucune envie, je suis en larmes, je lui dis “non, arrête, pas comme ça”, alors il se fâche, “si c’est comme ça je m’en vais”, je lui demande de rester, je suis si seule, et je crois qu’on s’aime, je ne comprends rien, surtout pas comment il peut aussi brutal, sans considération, sans respect, sans échange, sans sensualité, puis il prend le fait que je lui demande de rester comme un oui à tout, il faut lui faire une fellation puis pénétration crac crac en 3 minutes. Il n’y voit aucun mal. J’ai mis longtemps à me rendre compte que c’étaient des viols.