J’ai été caressée sur mes parties génitales enfant vers 4-5 ans par un policier ami de ma maman chez qui j’ai aussi dormi. Une nuit, je ne me souviens de rien sauf du moment où maman est venue me chercher.
Deux frères de mon âge essayaient de se faire du bien en se mettant sur moi quand j’avais 4-5 ans après s’être faits tabasser au martinet devant moi par leur beau-père que leur maman laissait faire.
Vers 14 ans, un ami de mon grand père m’a forcé à lui faire une fellation puis il est venu dans ma chambre et m’a caressée le clitoris, première fois que je prenais du plaisir. dans les deux cas j’ai essayé de protester mais sans oser m’opposer franchement devant son insistance, je préférais me soumettre plutôt que de lutter contre plus fort que moi
Vers 16 ans, le même policier que quad j’étais gamine m’a caressé les seins pendant que je révisais mon bac français. j’étais tétanisée
En stage vers 20 ans, mon tuteur a commencé à me caresser les épaules puis les seins, j’étais tétanisée
Au même âge, je suis sortie avec un collègue qui m’a obligée à lui faire une fellation dans sa voiture
Vers 40 ans, un « ami » m’a fait l’amour alors que j’étais fatiguée et ne voulais pas. J’ai refusé mais était épuisée et comme ayant renoncé à m’opposer. Ni désagréable ni agréable, je ne me suis pas plus opposer et ai attendu que cela se fasse et passe.
Plus tard, cette même personne est entre dans ma chambre la nuit. J’ai dû dire non 7 fois pour me faire entendre. Vers la 5è fois, j’ai franchement dû hausser le ton et compris à ce moment là pourquoi je n’avais jamais eu le courage de le faire avant. J’ai senti mon coeur battre à tout rompre, la peur monter en prenant conscience de son hésitation à obtempérer. Je me savais moins forte que lui et préférais me laisser faire en croyant que je consentais plutôt que de risquer de me sentir vraiment violée de force. S’il n’avait pas tourné les talons, à ce moment là j’aurais accepté, de peur en lui laissant croire que je n’étais pas contre.