Bonjour/bonsoir
Je suis mère au foyer depuis la naissance de ma fille aînée en 2004, et je continue à élever, contre vents et marées, mes quatre enfants, actuellement âgés de 10 à 20 ans. J’ai pourtant fait des études de droit à la fac quand j’étais jeune et travaillé quelques années avant de m’arrêter lorsque j’étais enceinte de mon premier enfant. J’ai ensuite réessayé de travailler, de faire des formations pour m’insérer, en vain. Toutes mes tentatives ont échoué et pour cause ! J’étais sous emprise affective et morale. Idiotement amoureuse d’un homme qui avait fait d’autres desseins pour moi, lui avec son entourage familial et notamment sa mère. Il m’a gardée à la maison et m’a contrôlée, manipulée en permanence. En réalité, je répondais à toutes ses attentes et ses besoins, sans prendre en considération mes propres besoins. Et quand je contestais ou me rebellais, il me faisait croire que j’étais anormale, asociale, folle… En fait, j’étais dépendante affective, sociale et financière de cet homme perturbé. Il sortait le soir en semaine quand il le désirait, s’absentait le week-end comme bon lui semblait sans se préoccuper de nos enfants. Il est le fils aîné d’une famille autocentrée et fermée, à la tête de deux entreprises locales et bénéficie à tort, de larges relations politiques et économiques, professionnelles et sociales. J’étais naïve, crédule, timide, peureuse et anxieuse. J’étais donc crédule, naïve, aveugle et peureuse. Oui, il me faisait peur. Il parlait à mes lieu et place, avant même que je n’ai le temps de réfléchir pour répondre. Je doutais tout le temps de moi, tellement il me rabaissait, me dénigrait constamment selon son humeur, mecritiquzit pour tout et pour rien, n’hésitant pas de secontrdire d’un jour sur l’autre (« femelle », « boulet », « qui travaille et qui est le mâle ? », « anormale » parce qu’il m’interdisait de jouir, « folle », « bipolaire », « schizophrène « , « elle entend des voix », « sectaire »… ), tout y est passé. De plus, en repas amicaux, il faisait des propositions d’échangisme, quand il avait bu, et ça me dégoûtait . Souvent, lors des repas, nombreux, où il buvait, il etelait
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