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Viol pendant allaitement

Comme tous les soirs, je faisais à manger pour tous les trois, aide bébé à manger et l’endort au sein avant de me relever pour prendre mon repas, seule. Avant, je faisais à manger juste pour bébé, j’allais l’endormir, puis je faisais à manger pour nous, mais comme il était tard il me faisait culpabiliser en ne mangeant pas. Le père de ma fille est venu se coucher derrière moi après son repas, pendant que j’endormais notre fille au sein. Je lui ai dit que j’étais entrain d’allaiter notre enfant, cela n’a pas suffit à ce qu’il s’arrête. Je lui ai dit que j’avais encore très mal au périnée à cause de l’accouchement (je n’avais pas eu de déchirure, donc une tension importante) et que la position sur le côté était très douloureuse, cela n’a pas suffit à ce qu’il arrête, au contraire, il a intensifié pour terminer le plus rapidement possible, donc a intensifié mes douleurs physiques et psychologiques. En parallèle, je n’avais pas interrompu l’allaitement de notre fille de six mois, car elle n’était pas endormie. J’essayais ensuite d’obtenir un réconfort de la part du papa, car j’avais le cœur brisé et j’étais épuisée de tout prendre en charge en plus de mon travail, mais il s’était tourné et serait endormi sans un mot dès qu’il avait eu fini ce qui l’intéresse. Comme je ne risquais pas une grossesse avec l’allaitement, il vidait son sperme en moi.
Le lendemain, je lui en parle en lui disant que j’allaitais notre fille et que je refusais de mélanger l’amour maternel qui se partage en cet instant et “l’amour conjugal”si on peut dire qu’il s’agit d’amour dans ce que je viens d’expliquer. Je lui ai demandé avec insistance et fermeté : je t’interdis de recommencer. Cela a recommencé à deux reprises dans les semaines qui ont suivi, comme notre fille n’était pas endormie, cela se passait de la même façon. Je lui ai toujours verbalisé l’interdiction de recommencer.
Le père de ma fille a toujours eu un comportement de manipulateur pervers envers moi. Nous sommes actuellement sous le coup d’une mesure d’investigation éducative suite à un signalement de la crèche relatant des comportements inquiétants de la part de notre fille, notamment qu’elle attrape le zizi du copain et qu’elle ne le lâche pas même si il refuse, qu’elle met ses doigts dans ses deux orifices en disant papa c’est bon mmmmhhhh c’est bon, qu’elle chatouille les fesses des dames quand elles sont accroupies…. (Monsieur chatouille et embrasse les fesses de sa fille m’a t il dit…, pour ma part je lui avais interdit de lui embrasser la bouche et les fesses quand j’étais enceinte).
J’ai toujours été inquiète concernant une possibilité d’inceste par rapport à certaines paroles du papa(j’ai hâte de l’embrasser sur le bouche et sur les fesses…), notamment par rapport au fait qu’il ne sollicitait jamais de rapport intime avant la grossesse et qu’au moment du coucher il était toujours fatigué, et se plaignait même de viol de ma part alors que je lui disais : s’il te plaît peux tu être avec moi avant de dormir pour qu’on réussisse à créer des liens dans notre couple? Et avec quelques caresses je réussissais à le convaincre pour un rapport d’une ou deux minutes avec plaisir uniquement pour Monsieur évidemment, et intense frustration pour moi car il s’endormait immédiatement sans mot doux ou câlin. Il en a toujours été ainsi, sauf deux fois en trois ans, qui étaient à peu près saines, et les trois viols conjugaux que je vous ai exposés. J’ai fait trois tentatives de départ de la relation, mais j’étais sous emprise psychologique, et il prononçait quelques mots doux pour que je change d’avis et lui laisse une chance, pensant que ça allait enfin changer. Ce n’était qu’une unique phrase qu’il prononçait, après il redevenait le même qu’avant. Le quotidien étaient dévalorisation et critique, pas d’investissement dans le quotidien ou dans la relation de couple (pas de romantisme, sorties, voyages dont il parlait pour me séduire). Lorsque j’entamais une discussion pour essayer d’améliorer la relation, il ne me regardait jamais, et partait. Il est parti après m’avoir étranglé devant notre fille de onze mois. Il est allé se faire griffer les bras par quelqu’un d’autre pour faire un certificat médical (j’ai les ongles rongés) et dire qu’il m’avait repoussé parce que je faisais une crise d’hystérie (il avait donné nos clés de maison en vente dans le département voisin à un couple sans que je le sache et il ne me regardait pas quand je lui parlais en lui disant que c’était un abus de droit et la dispute était enregistrée. Il a souvent enregistré nos disputes à mon insu et pris des photos pendant que je dormais et les a diffusé autour de lui en disant que je ne faisais rien à la maison et que je criais devant notre fille. Cela va certainement se retourner contre moi si je porte plainte pour viol, car il a des enregistrements où je l’insulte en criant que c’est une grosse merde pour qu’il parte de la maison et je pense que notre fille était présente, je ne m’en souviens plus, cela fera deux ans. Pour autant, dès que ma fille guérit de la grippe et retourne à la crèche, je vais porter plainte pour viol conjugal. Je n’ai pas de preuve, sauf un message qui dit “tu vas loin en parlant de viol” alors que je lui parlais des accusations de viol qu’il avait envers moi et non le viol qu’il a commis sur moi, ce malentendu ne sera pas clair comme preuve pour une personne extérieure. J’ai une prise en charge psychologique régulière depuis un et demi ce qui me permet d’aller porter plainte. Il y a un an, j’ai assisté à huit séances de groupe pour femmes victimes de violence, car j’ai aussi pris un coup de poing dans la figure alors qu’il tenait notre fille de cinq mois dans les bras (pas de preuve car pas de marque sur le visage), et les trois autres femmes violentées m’ont dit qu’elles ne portaient pas plainte par peur des représailles. Enceinte, je faisais 260 km par jour pour aller travailler, car le papa m’avait demandé d’avorter et de trouver un travail près de ma famille à 1h30 de route du corps de ferme qu’on avait acheté ensemble trois mois avant. Un vendredi, où je partais à 6h30 et rentrais comme d’habitude du travail à 20h15, j’étais particulièrement fatiguée et je lui ai reproché de ne pas avoir mis la table ou commencé au moins à faire chauffer quelque chose (comme d’habitude pourtant). Il n’a rien répondu et a foncé dans la grange pour assassiner une chatte encore allaitante de quatre chatons en la transperçant avec une barre de fer. Fait en cinq minutes, il revient pour me raconter. Pour protéger mon bébé dans mon ventre de mes émotions, j’ai tout fait pour garder mon calme et j’ai fait à manger puis j’ai fait une reconnaissance anticipée pour m’encourager à sortir de cette situation pour protéger notre enfant de sa dangerosité, mais je n’ai pas réussi puisqu’il l’a reconnu, m’a convaincu pour signer un papier pour qu’elle porte son nom et m’a suivi lorsque j’ai déménagé après l’accouchement pour me rapprocher de mon travail. Un an désastreux à vivre à trois après deux ans de maltraitance à vivre à deux. J’ai de la chance aujourd’hui d’avoir repris des forces, mais je suis fichée à la police pour non présentation d’enfant. En effet, avec la présomption d’inceste et le fait qu’il frappait violemment son chien qui aboyait la nuit parce qu’elle voulait faire ses besoins (que je devais nettoyer le lendemain) et qu’il m’a toujours répondu qu’il n’arrivait pas à ouvrir les yeux la nuit quand je lui demandais de donner un biberon à notre fille alors qu’il était au chômage et moi crevée de tout faire en plus du travail (il disait que c’était mon rôle de tout faire, et sa mère le disait aussi). Notre fille ne s’est jamais endormie facilement et se réveille la nuit, j’ai peur qu’il n’ait pas la patience de l’endormir et la prendre en charge en cas de réveil et qu’il commette l’irréparable. J’ai eu beau alerter le JAF, tous ses droits ont été maintenus. Cela passera devant le juge des enfants à l’issue de l’enquête, j’espère que je serai entendue concernant le danger immédiat de lui confier notre enfant, ainsi que pour le viol pendant l’allaitement. Les femmes victimes de violence m’ont dit qu’il ne faut pas attendre des tribunaux qu’ils réparent quoique ce soit. En portant plainte, je me mets en danger, je le sais. Si je viens à être assassinée, j’aurais tenté de protéger mon enfant et les autres femmes qu’il piègera avec ses mensonges et trahisons. Je suis responsable de ne pas avoir eu la maîtrise sur la relation, j’envisage qu’on me le dise. Les P.N. sont des as pour retourner les situations et se faire passer pour des victimes, sont des menteurs et des manipulateurs, des procéduriers, et des arnaqueurs. Je prends le risque.

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Lydie
Lydie
2 années plus tôt

Votre témoignage ma donné la boule au ventre. Vous êtes malheureusement tombé sur un sale type (pour être gentille).
Les pervers narcissiques sont la pire des espèces et sont capables du pire.
J’espère vraiment qu’il ne s’en est pas prise à votre fille, mais à la lecture de votre témoignage j’en ai malheureusement de sérieux doutes. J’ai hâte de lui faire bisoux sur les fesses, sur la bouche … Mais aucun père normalement constitué ne dirait ça !!!
Je vous envoie mon tout soutien et je croise les doigts pour vous pour la suite. Ne baissez pas les bras !

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Anonyme
Anonyme
2 années plus tôt

Vous êtes tombé sur un véritable psychopathe. Il n’a aucune compassion, ni estime envers vous et votre fille.
Les comportements de votre fille sont anormaux et cela s’explique par l’attitude de son père.
«attrape le zizi et ne le lâche pas même s’il refuse », ainsi que les autres perversités : c’est le pervers qui lui a appris cela.

Cet individu n’est pas un père, ni un mari, voire même un humain ; car tuer un animal avec une barre de fer devant ses chatons montre la monstruosité de ce psychopathe.
Il sait qu’il la fera souffrir avec une barre de fer et devant ses chatons pour les traumatiser. Le pire dans cela, c’est le fait de vous le raconter afin de vous faire du mal et aussi à votre fille.
Cela met en évidence la dureté de son coeur, la dangerosité de ce psychopathe.

Il est conscient de ce qu’il fait et non pas victime de sa défaillance psychologique.
Son environnement familial a dû être le même.

De plus, il prend des vidéos en cachette afin de vous faire passer pour le bourreau de la maison et lui comme la victime essayant de protéger sa fille.

Aussi, il vous violente et même devant votre fille. Il essaye de créer un traumatisme et une peur en vous, mais aussi envers votre fille.
Les enfants se rappellent de certains souvenirs de leur enfance surtout des flash assez traumatisant.
C’est donc un manipulateur, un pervers et un individu très dangereux.

Son profil : un individu au chômage ;
Violent et ne ressentant aucune peine ; un égoïste ; un pervers et incestueux père ; filme en cachette ; n’assume pas ses erreurs alors plonge dans une violence ; tue une chatte qui allaite ses chatons avec une barre de fer ; raconte cet événement à vous enceinte ; se griffe le bras ; mythomane ; violeur ; sadique.

Le plus important est de vous protéger vous et votre fille par la garde exclusive.

Contacter l’assistante sociale à la CAF.
Parlez-en à un avocat, il pourra vous apporter des conseils sur la procédure pour mettre en cause votre compagnon.

Avis personnel (à prendre ou à laisser) : Pourquoi pas le piéger à son tour. Lui poser des questions indiscrètes sur votre fille « tu l’as trouve comment ? Après l’allaitement tu comptes faire quoi ? » par exemple.
Je n’ai pas vraiment d’idées de questions, et c’est normal n’étant pas un(e) pervers(e). « Comment est-ce que tu
as tué la chatte ? ; Elle a dû souffrir non ? »
Filmez le à votre tour. Certes c’est abject de poser ce genre de questions, mais cela pourrait PEUT-ÊTRE constituer une preuve pour le bien de vous et de votre fille. (Conseil facultatif).

Donc, parlez-en à un avocat, assistante sociale, à des associations et posez des questions à votre fille : avec le mot papa.

Il faut que vous vous éloignez de lui par le
divorce pour un environnement plus sain. Vous ne méritez pas cela et personne d’ailleurs. Vous souffrez de cette situation et c’est complètement normal !
Vivre avec ce psychopathe amplifiera l’ angoisse, le mal être de vous/votre fille, et cet environnement malsain.

Parlez-en urgemment et en premier temps à un avocat !

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Sagittaire
Sagittaire
2 années plus tôt

Bonjour,

Je suis pas sûre que le filmer ou le pousser à la faute soit légal. Au contraire, cela pourrait créer l’escalade et se retourner contre vous.
En revanche, je pense qu’il faut alerter les autorités compétentes (police, assistante sociale, protection de l’enfance etc.)

C’est un long parcours, mais manifestement, au vu de la gravité des faits et de l’imprevisibilité du bonhomme, vous n’avez plus le choix.

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Anonyme
Anonyme
2 années plus tôt

(Auteur du commentaire anonyme)

Bien évidemment Sagittaire !
La situation est si délicate et en même temps si révoltante…
Le conseil d’un avocat est le mieux approprié !

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