En 1990, j’ai été très affectée par la mort de mon père et j’ai consulté un psychiatre à Chalon-sur-Saône qui m’a manipulé jusqu’à finir par me convaincre de vivre une histoire d’amour avec lui, en me demandant de surtout n’en parler à personne. Dès les premiers instants de cette histoire, j’ai ressenti dans tout mon corps et tout mon être une tragédie indescriptible. J’ai mis fin à cette histoire après quelques mois, en déménageant à Lyon. Ce psychiatre a fini par trouver mon adresse et est venu vivre à Lyon, où il m’a fait subir un harcèlement permanent pendant de trop nombreuses années : coups de fil, courriers quotidiens, il me suivait dans la rue, il m’a décrédibilisé dans mon milieu professionnel. Il a tenté de m’écraser en voiture quand je traversais la rue. Il attendait mes enfants à la sortie de l’école, il nous suivait sur le chemin de l’école. Un matin où j’emmenai ma fille à l’école et où j’avais décidé de le prendre en photo, ce que je fis, il m’agresse pour m’arracher mon appareil photo. Ce psychiatre a été convoqué par la police, qui a souhaité faire témoigner ma fille de 5 ans. La plainte est restée sans suite. L’ordre des médecins à qui j’avais écrit, a proposé une confrontation, et je n’ai malheureusement pas eu la force suffisante de m’y rendre seule, et je le regrette bien.
C’est horrible de faire confiance à un médecin et de se retrouver en face dune ordure.
Quand est-ce que la justice fera son métier correctement à savoir mettre les harceleurs agresseurs en prison.
Ce site est la preuve que les lois et ceux qui sont censés les appliquer clochent gravement.
Bon courage.