A trente ans on ne le sait pas : on n’est pas obligé d’accepter qu’un mari vous force à des relation sexuelles. J’étais jeune médecin, jolie, une taille 36, de longs cheveux ; ambitieuse je passais un week-end sur 4 à Paris pour parfaire ma formation; pendant ce temps mon mari gardait notre fille de 4 ans, le reste du temps il n’avait pas à s’occuper d’elle je faisais tout.Il était très jaloux, macho. U, dimanche je l’ai appelé disant que je m’étais blessée le dos et que je rentrais donc plustôt.Il n’avait pas pu me joindre la veille, au sortir de la gare il m’injuriait, j’étais une fille de mauvais vie, j’allais à Paris pour voir des hommes. Arrivée à la maison, à peine la porte d’entrée fermée, à peine un baise donné à ma petite fille, il hurlait était en furie et criait « tu vas y passer » : il déchirait mes vêtements, mes collants, mes sous vetements, devant ma fille qui hurlait de peur à le voir ainsi, il me poussait vers la chambre où il m’a violée. peu de temps après il me quittait en me laissant des dettes énormes que je suis encore en train de payer avec beaucoup de difficultés, se faisant attribuer mon appartement dans le divorce, et donnant le jour à un petit garçon né de ma secrétaire peu de temps après les faits.
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