Viol de meute

Je déménage dans le 18è à Clignancourt en 1994, mes fenêtres donnent sur un squat d’africains avec une mama prostituée et droguée à leur tête qui me mate toute la journée. En dessous de chez moi une infirmière de la RATP se ligue avec la tribu pour me faire partir (je ne suis pas du sérail) et les faits rentrer une nuit dans la résidence. Je me réveille en pleine nuit, deux africains dans mon studio les bras en croix une croix dans la bouche. Il y a 3 ans, pour me partir de mon logement des jeunes du 32 rue Henri SImon ont voulu ressusciter l’histoire avec la complicité des flics de Versailles. Entre les deux évènements j’avais fini à l’hôpital psychiatrique, ils ont voulu rééditer l’exploit avec la complicité de mes propriétaires. Les porcs n’ont jamais été inquiétés, promus, régularisés. J’ai mis 20 ans à obtenir que le maire du 18ème ne soit plus réinvesti.

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