Viol avec usage de drogue

J’ai rencontrée l’agresseur dans un contexte de formation avec pôle emploi.
Droguée à mon insu lors d’une situation piège.
Je suis réduite à l’état d’objet total sans conscience ni réactions possibles, pendant de nombreuses heures. Un éclair de conscience à un moment donné dans ce tunnel infernal me permet de recoller certains morceaux de l’histoire : tournante avec ses potes dans une cave de la cité (l’Argonne) d’où il (Monir) provenait.
Si je n’ai quasiment pas accès aux consciences sensorielles, pendant tout le temps de l’agression du fait de la/les ? molécule,s ? utilisée,s pour me droguer, j’espère « chèrs » agresseurs que jusqu’à maintenant votre conscience, elle, se souvient et ne vous laissera pas tranquille jusqu’à ce que vous éprouviez des regrets sincères et vous engagiez (avec vous même) à ne plus nuire de la sorte mais agissiez auprès de votre communauté entre autre mais pas seulement, pour militer contre ce genre d’actes. C’est ce que je peux vous souhaiter de meilleur après toutes ces années de souffrance car que l’on soit victime ou bourreau, on peut oublier ou essayer d’oublier le passé mais le passé, lui, ne nous oublie jamais et le mal que l’on a fait subir à autrui tant qu’il n’est pas réparé reste gravé dans nos cellules et surtout dans la bande magnétique insubstantielle qu’est notre esprit ! Essayez donc de rouler avec une voiture qui a un problème de moteur ; vous n’irez pas loin ! Tel l’âme des victimes qui malgré la souffrance tente d’avancer … en titubant. L’agresseur peut se libérer du poids de ses actes en agissant à l’inverse de ce qui a engendrer la souffrance. Tu (Monir le chef d’orchestre de cette opération de groupe) es / vous (les complices) êtes passé,s à travers les mailles du filer d’une condamnation judiciaire, mais vous n’êtes pas libre de vos actes pour autant ! Et ça c’est le pire ! Vous pouvez feinter votre conscience un certain temps mais face à la mort la leçon vous sera donnée et elle sera d’autant plus douloureuse que vous n’aurez rien fait ici bas sur terre pour réparer cela et vous améliorer. Quand bien même vous auriez arrêter de perpétrer ce genre d’actions.
Agissez avant qu’il ne soit trop tard pour vous ! Soyez prudents car parfois le boomerang n’attend pas l’heure de la mort pour enseigner l’attitude juste ! Le mal que l’on a fait est au delà des dogmes et des religions ; une faute / une erreur avouée est à moitié pardonné est-il dit ! La responsabilité rend libre ! J’ajouterai, une faute avouée et à laquelle on applique l’antidote adéquat est totalement libérée. Bon courage avec votre conscience !

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