Viol
Je t’avais proposé de dormir chez moi.
On est rentré ensemble de cet anniversaire, avec de l’alcool dans le sang.
Je me suis endormie dans mon lit après t’avoir précisé que je ne voulais pas de sexe. Endormie, tu m’as touché, puis violé, sans capote.
Quand je me suis réveillée tu étais sur moi, et en moi. Je me suis roulée sur le ventre pour m’enfuir de ces va et vient.
J’ai voulu dédramatiser.
Je ressens maintenant un vide, une nausée.
Dimanche 22 janvier, j’ai été violé par un jeune homme de mon âge.