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Dans la vie on se croise toujours deux fois

Je me rappelle très bien quand j’étais petite en CE2, ce vilain garçon William déjà tout bouboule, et qui voulait faire comme les autres, et avait essayé plusieurs fois de me toucher la culotte sous la jupe, mais avec lui hors de question, son visage rubicond m’écœurait au plus au point . Heureusement je m’en suis plains aux autres garçons qui se sont occupés de lui et ses parents l’ont changé d’école à la suite de ça, mais j’ai fait parti des personnes punies, ce qui était un comble.
J’ai revu ce fameux William il y a quelques année, il avait une pathologie cardiaque, due à son embonpoint et a atterri dans le service dans lequel j’étais infirmière. Il n’avait ni famille ni amis pour l’accompagner dans ses derniers moments… Il était toujours aussi laid et pathétique qu’avant. Lui ne m’a pas reconnue, mais lorsqu’il est parti la veille de son trentième anniversaire, certaines de mes collègues s’apitoyaient sur son sort. Mais moi je me sentais plus légère et soulagée de savoir que ce porc ne tenterait plus jamais de tripoter les filles.

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Julien
Julien
6 années plus tôt

“qui voulait faire comme les autres”, “mais avec lui hors de question”. Est ce que cela signifie que vous laissiez faire les autres?
En CE2 vous avez décidé de vous faire justice par la horde des vos “défenseurs” ce qui peut facilement s’expliquer par le manque de maturité d’un enfant. En revanche je n’explique pas le fait que même adulte vous pensez que cette décision était la bonne.
Enfin ce qui me dérange c’est la manière dont vous insistez sur son physique.
Le porc de “balance ton porc” caractérise un comportement et non un critères physique.

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Alexandrine
Alexandrine
6 années plus tôt
Répondre à  Julien

Et bien oui, certains pouvaient d’autres non… Et c’est vrai encore plus vrai aujourd’hui que je suis adulte, à une autre échelle évidemment, puisque vous vous imaginez bien, que je ne me contente plus seulement de me laisser toucher la culotte. Mais cela s’appelle juste le consentement.
Et oui, je pense encore qu’envoyer un homme, (ou plusieurs comme c’était le cas) me défendre contre un agresseur est une solution plus intelligente que de me défendre moi-même, n’ayant pas un physique taillé pour le combat. Quant aux autorités, l’expérience m’a appris avec cette punition de groupe que ce n’était pas le plus efficace. Le gros William a changé d’école, parfait. Aurais-je eu un résultat aussi efficace si je m’étais plains à l’institutrice, certainement pas.
Enfin oui, le physique de ce garçon était fort disgracieux, et c’est la principale raison pour laquelle il n’avait précisément pas le droit de me toucher. Encore une fois cela s’appelle juste le consentement. Et sans mon consentement tout homme qui me touche est bien un porc. Je ne me permettrais en revanche jamais de taxer de porc un homme au simple motif que son physique est répugnant, à condition bien sûr qu’il reste bien gentiment à la place qui est la sienne.

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Papo
Papo
6 années plus tôt

C’est vous la truie dans cette histoire!!!

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Julien
Julien
6 années plus tôt
Répondre à  Alexandrine

Pourquoi alors donner autant de détail sur son physique si disgracieux dans votre récit? Cela discrédite totalement votre propos et d’une manière plus général votre démarche.
La notion de consentement qui est la pierre angulaire de votre argumentation me semble tout à fait louable et ce qu’elle que soit l’âge de celui qui le revendique. J’ai toutefois des difficultés à mettre en perspective cette même notion lorsqu’il s’agit d’un(e) enfant qui, si jeune, adopte des comportements “sexuel” qui me semble tout à fait inapproprié en CE2 (cependant je n’ai pas envisagé le fait qu’à ce moment de votre scolarité vous aviez peut-être déjà 14 ans).

Vous parlez d’homme que vous auriez envoyé pour vous défendre, or il s’agissait là d’enfant (à moins que vos camarade d’école à cette époque ai eu plus de 18ans) et il s’agissait plus d’une punition ou d’une vengeance que d’une défense. Un enfant n’a évidement pas le jugement et le discernement nécessaire pour réagir de manière adapté à une telle situation.
En dehors du consentement, les critères qui donnaient accès à votre culotte (et plus si affinités aujourd’hui) sont tout à fait légitime, cependant ils sont subjectif et n’ont donc aucune place ici.

Selon vous “le gros William” aurait-il dû comprendre par lui même qu’il était trop repoussant pour avoir accès, comme beaucoup d’autres, à votre lingerie d’enfant , alors que vous sembliez pourtant autorisé facilement d’autres garçons avoir ces comportements déplacés ?
Un enfant de CE2 trop moche selon vos goûts (et ceux de la majorité j’imagine) qui tente sa chance comme les autres méritait de se faire passer à tabac !
Est-ce donc cela qui le rendait si “pathétique” à vos yeux?

Quand vous dites que vous avez été punies, je me pose les questions suivantes : Par qui? et Pour quel motif ? Par ailleurs je me demande si vos parents, instituteurs et autres encadrants étaient au courant que vous vous comportiez de manière totalement inadapté au milieu scolaire surtout en CE2.
J’espère sincèrement que votre “punition” ne vous aura pas empêché de devenir une adulte équilibré, a priori vous êtes parvenu a faire face à cette souffrance en gardant vos chères valeurs.

Selon moi tous les garçons qui avaient joués à ce petit jeu méritaient un recadrage.
De votre côté il aurait été utile, pour le bien commun, que quelqu’un prenne le temps de vous expliquer qu’il est parfaitement irrationnel de prétendre à recevoir un jugement vertueux lorsque nos actes assumés et revendiqués sont à l’opposé de ce concept.
En disant être soulagé par la mort d’un homme qui a commis le crime de ne pas vous mériter lorsqu’il était enfant, vous faites du tort à la cause Mme.
Votre manque de discernement malgré les années sonne comme un mépris pour toutes celles qui ont vécu et vivent encore de réelles traumatismes.

Je doute que nous soyons les premiers à “l’accueillir” mais vous pouvez être fier d’être parvenu à “libérer votre parole”.

Avec toute ma cordialitude

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n n
n n
6 années plus tôt

J’ai aussi beaucoup de mal avec votre témoignage, pour les raisons très clairement exposées par Julien.
J’espère que votre conscience professionnelle d’infirmière a été plus forte que votre dégoût pour cet homme -votre immaturité est tellement effrayante…
Il vous serait profitable de pouvoir poser maintenant un regard d’adulte sur votre comportement d’enfant de l’époque d’une part, et de voir d’autre part comment aujourd’hui encore vous validez et utilisez des schémas de pensées et de comportement d’une enfant de 8 ans.
Que savez vous de la vie de cet homme de son départ de l’école primaire jusqu’à son décès? Vous l’avez regardé, jugé et condamné avec les yeux d’une petite fille de 8 ans.
Non mais franchement, vous imaginez un parent ou un(e) instit. dire à une fillette de l’école primaire : “tu as le droit de te laisser toucher la culotte par les garçons, l’important c’est ton consentement”? , et aux garçons du même âge : “vous avez le droit de toucher la culotte des filles, de soulever leurs jupes tout ça tout ça, sauf si elles disent non, là, c’est stop”? Vous vous voyez dire ça à vos enfants?
A cet âge là, la limite c’est le consentement? Et si le garçon veut aller sous la culotte, et que la fille est d’accord, il a le droit aussi? Elles sont où les limites?
Si c’est comme ça qu’on pense faire évoluer les mentalités, au secours…et je range mon tablier.
Rajoutez-en une couche en me disant que “ben, oui, c’est pas méchant, et en plus c’est la tradition bien de chez nous, à cultiver dès la petite enfance, plus tard on appelle ça la grivoiserie -histoire d’adoucir les angles de l’inconvenance- et hop! à inscrire au patrimoine”…et alors là, vous m’aurez vaincue (dernier paragraphe limite hors-sujet, je sais, mais j’ai pas pu m’en empêcher)

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Alexandrine
Alexandrine
6 années plus tôt
Répondre à  Papo

Mon dieu Papo, vous m’avez littéralement sidérée par la profondeur de votre argumentation.
Je vous invite donc à vous jeter dans votre abîme intellectuelle dans laquelle vous aurez le temps de vous évaporer avant même d’en toucher le fond.

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Alexandrine
Alexandrine
6 années plus tôt

Donc si je suis l’argumentaire de ceux qui ont fait l’effort de bien vouloir aligner trois mots sans injures.
D’une part je ne prétends aucunement à recevoir de qui que ce soit un jugement vertueux. Je témoigne ici de mon propre vécu. Et effectivement, et sans ironie, je suis parvenue à faire face à la souffrance de cette agression. Il n’empêche que oui, pour se faire, l’intervention de l’autorité ne m’aurait été d’aucun secours, car oui l’attitude de l’institutrice aurait été envers moi, la même que celle de la police qui reçoit le témoignage d’une fille court-vêtue, le fameux “elle l’a bien cherché”. Hors si encore une fois mon attitude, j’en conviens précoce, m’a permis de mieux encaisser le coup de cette agression. Celle dernière ne saurait être minimisée de ce simple fait. Je vous assure des mains aux fesses j’en ai pris d’autres, et si je m’en remets peut-être avec moins de séquelles psychologiques, que bon nombres de témoignages présentés ici, il n’en demeure pas moins que le geste reste aussi grave.
D’autre part, vous semblez découvrir des choses que vous n’aviez pas imaginé dans votre monde idéalisé que vous semblez vouloir projeter à tous. A huit ans, un enfant peut déjà être sexualisé, je le sais c’était mon cas, et même avant, ne serait-ce déjà que par l’onanisme, ou bien le jeu. Punissez des enfants pour avoir sans contraintes joué aux docteur, et regardez ensuite les dégâts psychologiques sur leur vie sexuelle à l’âge adulte, et c’est en professionnelle de santé que je parle ici. Vous semblez découvrir ici également que le consentement est lié pour certain au physique. Excusez-moi mais j’ai un physique suffisamment avantageux pour ne pas avoir à m’abaisser à fréquenter sexuellement des personnes repoussantes. Voyez cela comme de l’immaturité, je vois ceci comme une chance (et accessoirement aussi un minimum de travail en salle de sport). Vous semblez également considérer les enfants comme des personnes sans avis, sans réflexions et sans maturité à qui il faudrait à la fois punir et pardonner.
Sachez que les enfants d’aujourd’hui sont déjà les adultes de demain. Et ce qu’encore vous considérez comme de l’immaturité, je le considère contre constitutif de ma propre personnalité. Et pour finir oui, la disparition physique de l’agresseur (car c’était bien le mot, l’agresseur de ma première agression), fait parti de mon processus de guérison et aussi immorale que soit ma position, la mort de cet individu, même devenu adulte et peut-être honnête, je n’en sais rien et je m’en moque, m’a considérablement aidé.
Alors bien sur, ce n’est pas ici que m’a parole s’est libérée pour la première fois, vous vous en doutez bien, mais si par mon attitude ouvertement odieuse je pouvais aider à une seule victime d’aller de l’avant, mon témoignage n’aura pas été vain. Ne pas toujours attendre des autres, les solutions à ses propres problèmes. Mais chaque cas est unique.

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Julien
Julien
6 années plus tôt
Répondre à  Alexandrine

Le contexte Mme, fait toute la différence…
L’endroit et le moment que vous avez vous avez choisi pour apporter votre témoignage n’est pas anodin, il participe donc à la contextualisation des évènements que vous nous relaté. En l’occurrence, il s’agit de débordement entre enfants, provoqués par des comportements inadaptés. Je qualifie d’inadaptés les comportements de TOUS les protagonistes des faits que vous nous rapportés !
Il n’y avait dans ces agressions rien de tolérable ou d’acceptable et ce n’est pas de minimiser les faits que de déclarer qu’ils ne peuvent pas et ne doivent pas être placés sur le plan des violences faites aux femmes que ce mouvement à l’ambition de dénoncer pour faire évoluer les mentalités.
Oui, les mentalités doivent changer, et force est de constater qu’il y a du boulot chez les hommes comme chez les femmes. Pour y parvenir il faut à tout prix éviter les amalgames qui ne font que provoquer des clivages. Je suis convaincu que les lectrices/lecteurs dérangé(e)s par votre attitude ici, seront plus nombreux(ses) que ceux que vous aurez aidé comme vous dites vouloir le faire.

Si vous considérez qu’en CE2 vous étiez parfaitement consciente de ce que votre comportement impliquait, vous ne pouvez pas nier qu’il s’agissait d’interaction avec d’autres individu doté d’une autre capacité de jugement que la vôtre.
En ce qui concerne la précocité, si vous êtes convaincu d’avoir, à cette époque, eu la maturité nécessaire pour distinguer quand le jeu n’en était plus un, il me semble intellectuellement malhonnête de reprocher à un enfant du même âge de ne pas avoir eu la même sagesse.
Vous semblez défendre le fait qu’un enfant aurait la maturité nécessaire à la prise de décision concernant sa sexualité, vous étiez donc capable, à 8 ans, de faire la distinction évidente et sans équivoque entre un jeu et un comportement déviant ?
J’essaie de déterminer à quel moment vous faites abstraction de ceux qui vous entourent.

Inutile de tomber dans la caricature en me présentant comme un être naïf dont le rideau autour de son monde idéalisé serait tomber laissant apparaitre le reste du monde. Non je ne dis pas que les jeux de découverte sexuelles sont anormaux, cependant que vous considériez le cadre décrit comme bon pour vous est une chose, mais que vous l’imposiez à tous me dérange un peu plus, c’est vous qui de cette façon imposé votre doctrine des libertés mal choisi.
Il est évident que tout être vivant à un “avis” et une capacité de “réflexion”. En revanche si vous pensez que les enfants peuvent avoir la même “maturité” que les adultes qui sont censés les guider pour les aider à trouver leurs voies en évitant tout dérapage (tout simplement en établissant un cadre), vous vous tromper de façon évidente.

Le fait que vous mettiez sur le même plan un comportement détestable (souvent prêté à certaines personnes qui recueillent les plaintes) : sous entendre ou exprimer clairement qu’une fille courtement vêtu l’aurait bien cherché, et votre attitude avec les garçons à cette époque, est assez révélateur du manque de fond dans votre combat.
Êtes-vous sincèrement convaincu que porter une jupe courte est équivalent au fait de laisser plusieurs garçons d’une même école accéder à vos fesses/culottes ?
Vous pourriez me répondre que chacune des ces expériences “autorisées” avait eu lieu dans l’intimité, mais il serait naïf ou malhonnête de croire que cela ai pu rester secret surtout entre enfants.
Si l’affreux William n’a jamais assisté au spectacle, alors il en a forcément entendu des récits.
Dans un cas comme dans l’autre, est-ce si surprenant que, cet enfant probablement aussi curieux que les autres (mais malheureusement pour lui beaucoup trop vilain à vos yeux) ai eu, lui aussi, envie de jouer au docteur ? Si la maturité que vous revendiqué avoir eu à cet âge vous empêchait d’envisager cela alors il est plutôt logique pour moi de penser qu’elle ne vous permettait pas non plus d’avoir un comportement sexuel adapté.

En admettant qu’à son âge, le gros Willi n’avait effectivement pas pris conscience qu’il n’aurait jamais le droit d’avoir lui aussi les faveurs de ce genre de femmes (trop belle pour lui mais vous faisiez sans doute déjà beaucoup plus d’effort à la salle de sport que ce porc), ce con aura probablement manqué de discernement et insisté après avoir pourtant essuyé vos refus catégorique.
Décidément, ce porc là a vraiment été mal servi génétiquement ! Non seulement il est laid et bouboule, il est stupide en se comportant comme un enfant (quand il en a l’âge) et en plus il a une pathologie cardiaque !
Heureusement la nature a correctement fini le job… il est mort et ainsi vous êtes parvenu à vous reconstruire.

Je comprends que vous assumiez parfaitement votre côté superficiel, je dirais même que c’est appréciable car cela permet aux lectrices/lecteurs de capter l’essence de votre traumatisme, mais je trouve regrettable que votre arrogance, palpable depuis le début de votre témoignage prenne autant de place dans vos réponses. Pour exemple : “Vous semblez découvrir ici également que le consentement est lié pour certain au physique. Excusez-moi mais j’ai un physique suffisamment avantageux pour ne pas avoir à m’abaisser à fréquenter sexuellement des personnes repoussantes.”
Non Mme vous ne m’apprenez rien sur les relations humaines, en revanche je ne vois pas ce que cela apporte au débat. Vous vous trouvez belle, parfait, il est était trop moche pour que vous vous abaissiez a son niveau, c’est entendu. Mais encore une fois le fait de souligner et justifier ce point dessert totalement votre propos et le noble combat d’origine. Comment pouvez-vous croire qu’une “attitude ouvertement odieuse” puisse apporter une aide sincère et pérenne ?
Quoi qu’il en soit, vous me voyez ravi de savoir que dans ce processus de guérison dont vous parlez, vous n’ayez pas eu de difficulté à reprendre confiance en vous, du moins physiquement, comme c’est souvent le cas pour les victimes d’agressions sexuel.

Pour finir j’ai plusieurs question :
– Vos remarques au sujet de son physique repoussant étaient-elles aussi présente à cette époque ?
– Pourquoi êtes-vous convaincu que l’intervention de l’autorité, de l’institutrice ou d’un adulte ne vous aurait été d’aucun secours ?
– Qu’est ce qui rendait votre porc si pathétique lorsque vous l’avez revu dans votre service à l’hôpital?
– Selon vous, y a t’il proportionnellement plus de porc chez les laids ?

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Julien
Julien
6 années plus tôt
Répondre à  Alexandrine

Dans votre témoignage vous disiez être infirmière au sein d’un service traitant notamment des pathologies cardiaques, désormais vous vous positionnez en spécialiste de la psychologie de l’enfant !
Professionnelle de santé ou pas, votre avis n’a pas plus de légitimité que le mien sur la question.
Je ne sais pas si vous avez des enfants à éduquer mais au risque de vous étonner, cadrer ne signifie pas nécessairement punir.
Si vous trouver plus sain pour ne pas risquer des “dégâts psychologiques”, de ne pas expliquer aux enfants qu’il y a un lieu et un temps pour tout ou que certains jeux ne sont pas appropriés. Voyez alors les dégâts que peuvent provoquer le manque de cadre au sein d’une communauté…
Votre position est sacrément contradictoire ou à géométrie variable suivant l’avantage que vous en tirez.
Vous voudriez ne pas être cadrer pour un comportement mal venu au sein de la collectivité et dans le même temps que son comportement inadapté soit sanctionné par la justice expéditive d’un groupe de garçon d’école primaire !!!
Plus de 20 ans après, animer par ce douloureux traumatisme, vous penser encore que cela n’était pas suffisant et que sa mort soulage et empêchera le dangereux peloteur de CE2 de sévir à nouveau!

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Alexandrine
Alexandrine
6 années plus tôt
Répondre à  Julien

Julien, je vous félicite de vous être donné autant de mal à détruire mon témoignage, je ne peux faire aucunement face à de tels arguments qu’il soient qualitatifs ou quantitatifs. Je ne suis qu’infirmière en chef et je ne veux pas perdre plus de temps ici, puisque j’y suis malvenue, car ne correspondant pas à la victime type.
Si vous préférez vous complaire à lire des témoignages de pauvre filles détruites, c’est bien, cela apporte de l’eau à votre moulin, comme quoi nous sommes toutes fragiles, abusées et que les hommes sont des gros porcs.
Ne leur donnez surtout pas les clefs pour gérer lesdits porcs ni celles leur permettant de passer outre leur statut de victime inconsolable.
Je vous salue.

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Julien
Julien
6 années plus tôt
Répondre à  Alexandrine

Je suis venu ici pour être éclairé sur l’ADN de ce hashtag qui avait généré la polémique, polémique qui selon moi est symptomatique des tensions dans notre société.
Vous étiez “malheureusement” le deuxième témoignage que je lisais.

Vous n’êtes pas malvenue, il faut se rendre à l’évidence votre témoignage et vos réactions incarne le clivage.

Merci pour votre sincérité et pour les clefs (les victimes vous sont probablement reconnaissantes pour (l’aide sincère que vous avez apporté).

Au plaisir de ne jamais me retrouver dans votre service

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Pseudo
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6 années plus tôt

Comme quoi des fois la roue tourne

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