Une nuit en enfer
J’apprends que ma mère est trés malade. Je suis à l’université et donc je ne suis pas à la maison, je décide d’arrêter mes études pour rester avec ma mère. Mes parents me demandent de continuer que ça va aller. J’accepte mais j’ai beaucoup de mal à me concentrer, je pense beaucoup à ma mère. Je fais la rencontre d’un groupe d’ami trés gentil qui comprenne ma douleur surtout un qui sera mon violeur. Je lui faisiat confiance, il comprenait mon mal être, le fait de rester ici alors que ma mère va trés mal. Toutes les semaines, on se réunit pour parler. Cette semaine là, c’est chez mon violeur. On discute mais je ne vois pas le temps passé et tout le monde commence à partir, il ne reste plus que lui et moi. Je lui dis que je vais partir. Je me retrouve d’un seul coincée contre le mur. Il me donne un coup de poing, je tombe à terre. Il me traine jusque dans sa chambre. Je me prend des coups de poings dans le ventre, le visage. Il me jette la terre par terre. Je le supplie d’arrêter mais il ne m’écoute pas. Il arrache mes vêtements, j’essaie de me débattre mais je me reprend des coups poings donc je ne me débat plus. Quand il me pénétre, j’ai l’impression de ne plus être dans mon corps que je suis au dessus en temps que témoin de la scène sans rien faire. Quand il a terminé de me violer, je me prend encore des coups jusqu’à m’assomer. Je suis réveillée par le froid car il m’avait laissé par terre dans la rue contre une poubelle comme un sac poubelle qu’on abandonne. Je suis allée voir une amie, elle m’a fait entrée chez elle, j’ai dormi pui aprés nous sommes allées à l’hopital puis à la police. Comme je connaissais l’adresse de mon violeur, il a vite était arrêté et jugé. Il est en prison maintenant et pour longtemps
Insoutenable, atroce, tu es tombée sur un fou à lier, un assassin, maintenant mis hors d’état de nuire heureusement. Je ne sais pas comment on peut survivre à cela, peut-être et sans doute même parce que tu as su et pu faire les bonnes démarches hôpital et police et que tu as eu une vraie amie.
Comment vas-tu maintenant ? As tu de graves séquelles ? Arrives-tu à dormir sans cauchemars, as tu réussi tes études et surmonté tes chagrins familiaux?
C’est terrifiant. Prenez soin de vous et bon courage pour la suite.
vous avez été bien courageuse..j aurais eu plein de haine,a votre place…continuez a vous battre !