un prof trop attentionné
J’avais 16 ans, presque 17. Je continuais encore l’école après deux viols. Je n’étais que l’ombre de moi même et mes résultats devenaient inexistant. J’avais déjà une tentative de suicide à mon actif. Mais je ressentais une colère au fond de moi, une rage qui me maintenait la tête hors de l’eau. Un jour, mon prof de maths, jugeant mes résultats en chute libre me demandait de rester un moment après la classe. Toujours assise à ma place au départ des autre élèves, J’attendais. Il est venu se placer derrière moi et à posé ses mains sur mes épaules. Je fixais mon cahier ouvert devant moi pour ne pas hurler, je ne supportais plus que l’on me touche. Je portais une chemise, la laissait ouvert de deux boutons. Il a laissé ses mains glisser sur mon torse et les a passé dans mon décolleté. Je me suis relevée d’un coup et l’ai frappé d’un coup de poing. J’ai rassemblé mes affaires et suis partie en courant. Par la suite, aucune nouvelle de ce salaud, j’ai fait le plus possible sauter les cours et j’ai définitivement arrêté. Je sais aussi que ce type à causé la mort d’un enfant en roulant comme un malade, il n’a rien eu. L’un de mes frères l’avait eu comme prof. Et la seule question qui me ronge est : ” combien y en a t-il eu?
C’est dégueulasse ! Savait-il pour ce qui vous était arrivé ? Ce qui serait bien pire encore. Vous posez la bonne question. La question à un mega euros. Il y a peut-être moyen de le savoir, avec l’association de Sandrine Rousseau. Ne restez pas seule, tous ces porcs vous ont amenée à tenter l’irréparable, c’est l’issue psychique trop vite passée à la trappe qui en banalise les effets, avec toutes les saloperies que les violeurs utilisent. Allez consulter, un bon thérapeute, faites vite, trop de témoignages parlent de vies brisées vécues dans le silence et l’injustice avec des blessures non refermées. Vous verrez, d’autres personnes de bon conseil vont se manifester ici. Soyez confiante et engagez vous vers la guérison, cela ne va pas être facile mais cela en vaut largement la peine. bon courage.
Et la petite écolière te dit d’aller mettre tes miches ailleurs!
Eh, “petite diablesse”, regarde bien et tu verras comment il se ridiculise tout seul. Même plus besoin qu’on intervienne!
Quoi, tu voulais m’affaiblir pour mon histoire? Pauvre imbécile,rien ne me mets à terre, je me relève de tout, je suis le roc qui va te faire chutter, tu as choisis la mauvaise femme sur le mauvais site!
tu ne m’auras pas mon Loulou, au fait, c’est mon chien qui se nomme LOULOU.
tu as de ses termes, on ne dit pas dégueulasse, à la rigueur dégoûtant!
oh, ce n’est pas moi la fille harcelé par le prof, mais une de mes connaissance et elle va très bien aujourd’hui!
Mais tu ne me parles plus? pourtant j’ai fait des effort pour toi!
SI MAIS POUR TE DIRE QUE JE NE SUIS PAS VINZ ET QU IL FAUDRA BIEN RESOUDRE TOUT CELA !