Un harcèlement collectif au travail mené par un pervers

Je travaillais en tant que pionne.
Il a fait croire des choses horribles à mon sujet. Quand je l’ai dénoncé, il l’a su, il s’en est amusé alors que sa diffamation était répressible par la loi. Mais comme je n’ai pas été soutenue par ma famille ni par un copain que j’avais très mal choisi à l’époque, je me suis tue. J’avais besoin de bosser pour payer mes études. Je me sentais si seule.
Il m’a harcelé au téléphone ensuite.
Il voulait savoir où j’étais, j’ai esquivé, il s’est quand même débrouillé je ne sais comment pour me rejoindre deux fois alors que je me promenais en vélo, alors que je ne lui avais pas dit de me rejoindre.
Il foullait dans mon portable. Une fois je ne trouvais plus mon portable. Il s’est mis à côté de moi et l’a laissé tomber dans ma poche.
Il a approché sa main à un centimètre de mon sexe devant tout le monde, actes à chaque dissimulé sous forme d’humour.
J’y suis restée jusqu’à ce que je sois trop fatiguée pour y retourner.
7 ans maintenant que je suis en fatigue chronique à cause de ces imbéciles de collègues.

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1 Commentaire

  1. 1234

    Chère Anonyme,
    Je vous comprends et je suis de tout cœur avec vous. Je sais combien il est très difficile pour les victimes de porter plainte immédiatement et de tout simplement savoir vers qui se tourner pour trouver de l’aide quand on est attaquée par des lâches.
    Maintenant si vous n’y travaillez plus, il serait peut-être fort utile de le signaler en écrivant au Procureur de la République ou directement sur le site du ministère de l’éducation nationale pour éviter que cela se reproduise.
    Prenez soin de vous avant tout.
    Sororité et amitié

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