Un électricien qui aime les garçons
Mon porc est un ami de mes parents électricien dans un petit village de campagne en Franche Comté, père de 3 filles.
A l’age de 17 ans, je fais un stage de plusieurs semaines chez lui dans le cablage électrique de maisons individuelles.
Au cours de cette période, j’ai eu des attouchements quand j’étais seul avec lui.
Sous prétexte de jeu, il m’attrapait et me touchait les parties intimes.
Ce n’est jamais allé au delà, mais j’ai quand même été traumatisé.
C’est un évènement très traumatisant, en effet, vous devriez trouver une personne de confiance pour en parler, peut-être un professionnel, ou même un ami, une amie. Des vécus comme les vôtres peuvent à long terme devenir destructeur. Vous ne devez pas vous laisser sombrer. Pensez à ce que vous êtes réellement et vous trouverez la solution. Dans ces abus, nous nous dévalorisons nous-même et ce n’est pas la solution, les victimes ne sont pas les coupables. Et être une victime ne nous rend pas plus faible, elle montre la force en nous, la force de tout surmonter! courage!
il se peut que quelque part tu te sentes rabaisser de tout ça,sans pour autant en avoir conscience. atteint dans ta virilité. il se peut aussi que tu ressentes un combat de force avec les femmes par rapport à ton vécu. mais il faut que tu comprennes que cet événement destructeur ne touche en rien en ta masculinité. tu restes un homme, ni faible, ni rabaissé, mais blessé dans son orgueil, comme toute proie des porcs. Il faut un temps pour accepter d’avoir subi un traumatisme, un temps pour apprendre à vivre avec et un temps pour ne plus le regarder que de côté en te disant que oui, c’est arrivé, mais non, tu ne laisseras pas cet acte te détruire. cela demande un grand travail sur soit, demande de l’aide!
de tout cœur avec toi.
les porcs sont de partout!
Tu devrais balancer son nom mon garçon!
tu peux venir en parler ici, sous le couvert de l’anonymat.
lui as-tu opposé un refus?
Il est dur de se confié. Mais c’est un pas vers la guérison. de tout cœur avec toi!
et là pour parler si tu en ressens le besoin.
la douleur des violences sur nos corps et nos vies, n’est ni hommes, ni femmes, ni enfants, elle est commune.