La prochaine fois que l’on me dit: “Tu as 40 ans tu n’as pas rencontré quelqun, tu ne veux pas d’enfants?”
Je répondrai: “Tu ne poses pas les bonnes questions.”
…
Balancetonporc.com
Victime de viol ou d’agression sexuelle ? Postez anonymement votre témoignage sur Balancetonporc.com
Chère Anonyme,
La bonne question : avez-vous été violée ?
Voulez-vous nous raconter ce qui vous est arrivé ?
Bonjour, la question. Déjà savoir qui vous demande ça.
Lui répondre : c’est personnel, en quoi ça te regarde, de quoi je me mêle, va te faire f….. Il y en a plein.
C’est une question intime.
Moi j’ai résolu le problème, je dis au questionneur indélicat: et toi au fait quand est- ce que tu divorces? Tu commences à avoir l’âge, il va falloir y penser, effet garanti, essayez vous verrez. En espérant qu’on ne va pas encore me sucrer ce commentaire…
Je suis ok avec vos réponses Elizni et Étoile sauf que vous êtes hors sujet !
Anonyme ne cherche pas une réponse à donner, elle répond ! Lisez bien !
Ce que dit Anonyme est : « Je répondrai: « Tu ne poses pas les bonnes questions. » »
Donc, l’intérêt doit se porter sur sa réponse ! Et telle qu’elle est faite, elle invite au questionnement, à lui poser les bonnes questions !
Elle n’en fait pas un secret ! Elle ne dit pas circulez il n’y a rien à voir !
J’adore ton icône ! Pourquoi on te sucrerait ton commentaire !
Quand tu es membre tu dois d’abord te connecter pour pouvoir mettre un commentaire sinon il est sucré, comme tu dis ! Il ne s’affiche pas !
Demande à Étoile, elle en sait quelque chose !
Comme je te comprends !
J’ai vécu un viol et plusieurs agressions.
On me demande souvent:
” À 25 ans, tu n’as jamais eu de copain ?”
“T’es lesbienne ?”
” Plus tard, tu ne voudra pas de mari, d’enfants ?”
Il faut répondre comme Josiane Balasko dans un de ses films: “non merci je ne mange pas de porc”…
d’ailleurs, sur le site orange section féminine, elle est citée sous le titre:
“Josiane Balasko trouve “très bien” que “les femmes balancent””
On nous a bassiné avec les pornoligarques et autres sycophantes de la néantitude parisienne mais voici un soutien fort discret.
Ça me tue ! Vous vous évertuez tous à fournir des réponses à Anonyme !
Elle ne vous demande pas de lui fournir de réponse ! ELLE EN A DÉJÀ UNE !!!
Vous ne l’écoutez pas ! Vous ne l’entendez pas ! Ou alors vous ne savez pas lire !!!
Coucou,
Rien..
Moi je pense que c’est un choix personnel.
Pourquoi devrions nous tous avoir le même objectif?
Vous avez raison, bonne réponse ! Faire des enfants n’est pas une obligation.
merci, exactement ce que je pense, autrement dit : il faut de tout pour faire un monde et aucune version uniforme du monde dans lequel tout le monde fait la même chose n’est viable !
En effet, surtout que c’est une figure de cette époque où ce n’était pas acquis mais où les choses avançaient, et avant le grand régrès dans lequel nous sommes. C’est en cherchant le film de la réplique mentionné que je suis tombé sur l’article, il m’a semblé propice de le relayer.
Les principes de la déclaration universelle des droits humains garantissent que vos choix personnels sont inaliénables, et que donc vous pouvez parfaitement choisir de faire ou non des enfants. Notez que c’est vrai dans une société libérale comme la nôtre ou une société anarchiste. Dans le premier cas on tolère des inégalités économiques (on les encourage parfois) mais pas dans le second. Dans les deux cas vos préférences personnelles sont sacrosainte. Cela n’écarte pas pour autant les remarques des pornolingues.
Je t’adore 🙂
Merci, tu es un amour 😉 !
Cette question des droits humains fondamentaux est cruciale, c’est pourquoi je la rappelle souvant, car il s’agit bien d’un déni des droits humains fondamentaux qui touchent les femmes dans le monde.
Tiens, je t’engage à lire l’article du magazine Pour la Science 486 d’avril 2018 intitulé “la dure réalité du travail au féminin”, par deux expertes économistes de la Banque Mondiale. C’est très éclairant, je le conseille à tous et toutes d’ailleurs.
Merci ! Tu es un Amour 😉 !
Cette question des droits humains fondamentaux est cruciale dans ces questions qui violences à l’encontre des femmes et des enfants. Il s’agit rien moins que d’un déni des droits humains fondamentaux et c’est ce qui doit guider notre action.
Je t’engage (et toutes les personnes intéressées) à lire l’article de Pour la science n° 486 d’avril 2018 intitulé “la dure réalité du travail au féminin”. Courage et soutien.