Toute petite
Ça commence par le fils des voisins (moi 7 ans ?) qui guide ma main à travers sa poche de pantalon pour toucher sa queue raide. Ça continue avec le voisin de mes grands parents (moi 10 ans?) qui me fait grimper dans un arbre en mettant un doigt dans mon vagin. Ainsi que le fit mon père par la suite, en d’autres occasions ( moi : 12 ans ?). Pédophiles? Même pas. Seul compte le plaisir sur la fente d’une enfant, d’une fille, d’une même pas pas femme..
60 ans plus tard, je n’ai rien oublié. Pas de harcèlement tel qu’il est dénoncé sur ce site. Reste l’insupportable domination masculine, qui pour un peu de jouissance se rend minable et à jamais.
Pas de harcèlement mais des attouchements et des viols, c’est encore pire. Oui, pauvres minables intolérants à la frustration, pervers en tout genre, abuseurs de leur pouvoir physique, amoraux, sans aucune compréhension des tortures qu’ils infligent aux autres, sûrs de leur priorité et de leurs droits sur tout ce qui leur fait envie. Pourritures.
Terriblement juste ce témoignage. Félicitations. Le pouvoir des lâches sur plus faibles qu’eux : UNE ENFANT ! Minables à jamais en effet (et visiblement pas assez conscients d’eux même pour s’en rendre compte, faire profil bas, s’excuser, non sûr d’eux mêmes et de leur bon droit, sûrs que nous sommes les diablesses qui les avons provoqués, tellement sûr de cela qu’ils viennent encore nous critiquer jusque sur site, nous traiter de délatrices car nous prenons la parole pour témoigner de ce qu’ils nous ont fait ! De tout coeur avec vous.
bravo !
merci
Le plus abject dans tout cela, c’est que ces porcs viennent se soulager la nouille sur une fillette qui ne pourra rien y faire, si ce n’est les conchier à jamais intérieurement. Le pire c’est que les porcs se foutent des dommages irréparables causés à la personne en devenir d’une fillette qui en sera à jamais marquée et dont ces souillures de rideaux de douche moisis se foutent de nier l’humanité d’une fillette qu’ils ont pourtant obligation morale de protéger, de laisser faire ses expériences de fillette. C’est une abomination sans nom et c’est très dur de témoigner même 60 ans après, quand on sait combien ces saloperies étaient alors courantes.