Toi que j’aimais
J’étais amoureuse ou je croyais l’être.
Lui était gentil, charmant, au début. Cher T.
Puis petit à petit, les méchancetés, les humiliations, les insultes. Jamais de coups. Me suivre quand je sors, m’empêcher de sortir, de voir du monde, de m’habiller comme je veux, de dire ce que je pense et d’ailleurs de penser ce que je veux…
Puis les demandes sexuelles, toujours présentes, même quand je ne voulais pas, même quand je souhaitais que ça finisse. Je n’avais jamais la paix. Jamais tranquille, toujours à avoir peur de la prochaine sollicitation de monsieur.
Oui, le viol conjugal existe. Non, on ne trouve pas toujours le courage de partir ou de continuer à dire “non” face aux conflits que ça créé… alors on “y passe” en espérant que ça cesse.
J’ai vécu la même histoire. C’est très difficile d’en sortir.
Bravo pour votre courage.