Tentative d’agression sexuelle

Les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi 28 au mardi 29 août 2017 lors d’une soirée professionnelle. Il y avait beaucoup d’alcool mais également certaines substances illicites. Je soupçonne même certaines personnes d’en avoir mis dans mon verre de champagne à mon insu ou quelque chose de ce genre. Je me suis donc retrouvée seule avec deux de mes collègues et le commercial d’un de nos partenaires. L’un de mes collègues a tenté de me prendre afin de m’embrasser, je l’ai donc repoussée et j’ai donc voulu partir et là un second a employé la force afin d’essayer de parvenir à ses fins pendant que le troisième est resté spectateur en pensant peut être pouvoir tirer profit de la situation. Je me suis donc débattue, afin de pouvoir échappée au pire face à trois hommes dont un particulièrement grand, impressionnant et qui avait l’air déterminé… Très grande peur, mais cette personne n’a pas du tout apprécié que je ne me sois pas laisser faire, de ce fait je préfère quitter mon emploi malgré toutes les bonnes choses qui venait de s’annoncer la veille. De plus, sur le retour en voiture, j’ai commencé à être très très malade, douleur atroce, vomissements, sueur froide et tremblement… J’ai donc terminée au urgence de la clinique en état de manque. Très grande frayeur et surtout peur des représailles sachant que cet individu a une vie de famille bien rangé et qu’il à pu constater que je n’avais rien oubliée de ce qu’il s’était passé.

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3 Commentaires

  1. Jécoute

    La prochaine fois ouvrir une petite bouteille d’eau et éviter les autres boissons. Intolérable, il faut se protéger. Cela ne vaut pas le coup….

  2. lechalote

    Tu as porté plainte? Tu es toujours là bas? Entendu de la bouche d’un psy, les juifs qui son,t partis sont ceux qui sont partis. Entendus aussi : vous n’avez pas fui, vous avez sauvé votre peau. Voilà, c’est sauver sa peau que de partir de ce type d’endroit, plainte ou pas. Sauve toi.

  3. lechalote

    Zut j’ai tapé trop vite sous le coup de l’émotion, tu as compris ce que je voulais dire je pense.

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