Encore une histoire de dragueur qui me suit dans la rue. Un grand maigre, la quarantaine grisâtre, sans autre signe distinctif. Je me rend compte en poussant la porte de mon immeuble qu’il est encore derrière (je pensais en être débarrassée). Je ferme très vite la porte derrière moi et vérifie qu”elle est bien close. Ouf ! Sauvée !
Je monte à mon appartement et ferme à clé comme d’habitude. Deux minutes après, 3 – 4 coups de sonnette insistants! J’ai très peur. L’affreux dragueur qui a du réussir à pénétrer dans l’immeuble en se faisant ouvrir ! (je vis seule et n’attends évidemment personne). Je fais la morte et espère en silence qu’il va se lasser. Il cesse. J’attends 5/10 minutes avant d’oser sortir avec précaution. L’individu n’est plus à ma porte mais quelques étages plus bas. Je dois faire appel à un de mes voisins baraqués pour le fiche dehors et l’intimider assez pour qu’il ne revienne pas..
Si j’avais ouvert ce malade m’aurait très probablement agressée et violée.
J’apprendrai incidemment un peu plus tard par la presse que plusieurs jeunes femmes du quartier se sont fait violer à leur domicile par un inconnu les suivant et sonnant chez elles…
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