L’enfer, cela fait des mois qu’un des directeurs de participations du fond d’investissement ou je travaille, me harcèle quotidiennement, en essayant de me coincer au détour d’un couloir, de m’infliger des commentaires graveleux, que si je ne couche pas avec lui ma carrière est morte, que lui fait la pluie et le beau temps .
Sous c’est air de 1er de la classe , il est vicieux .
En le voyant , vous vous dites « NON pas lui « , il passe partout , il a vocabulaire très fourni, jamais un mot de travers en public, mais quand par hasard vous êtes seule avec lui , il vous touche la cuisse , vous rentre dedans avec de vilains mots ( que je n’ose écrire ) , je sais plus comment faire pour le repousser. J’ai essayée d’en parler avec une autre personne, on m’a répondue « tu dis n’importe quoi » « c’est pas possible » » tu est une menteuse » etc…
rien que d’écrire, j’ai la boule au ventre, je ne trouve pas mes mots ?
Les seuls mots qui me viennent a l’esprit, c’est des insultes alors va te faire foutre ! Tu est un porc, tu es malade …
Posté dansAu travail
Quotidien au travail harcèlement de mon chef
votre temoignage fait froid dans le dos car il va peut être vous agresser aujourd’hui et dans l’indifference generale. Cet homme fait peur, vos collègues le savent et bien qu’éduqués tolèrent qu’il se comporte honteusement en vous traitant de menteuse. Constituez des preuves, c’est peut être le bon moment pour enfin le pièger et de faire changer la peur de camp. Courage, trouvez l’énergie pour vous défendre.
Un conseil si vous voulez réellement rester dans cette compagnie, prenez sur vous un enregistreur sonore, arrangez-vous aussi, si possible d’être devant une caméra de surveillance, mais si vous le pouvez, alors changez de travail. C’est ce que j’ai fait dans le passé bien qu’aimant énormément mon métier (celui que j’avais voulu faire depuis la classe de seconde), un métier très technique qui ne s’exerce que dans un nombre limité de villes pour ne pas dire de pays, pour ma part j’ai même dû m’expatrier avec femme et enfants (3) malgré des moyens financiers très limités, pour continuer à faire le travail que je savais faire et que j’aimais.