j’ai vécu avec un pervers narcissique durant 20 ans et nous avons eu deux filles. J’ai quatre filles au total, je n’en vois plus une seule suite à mon départ demandé par cet homme. depuis 2015, je tente de les revoir mais c’est chose impossible car il manipule mes quatre enfants qui ont choisi le confort et qui ne veulent plus me rencontrer. il m’est impossible de converser avec mes filles afin de m’expliquer. Cet homme m’a violée deux fois en disant que le viol n’était pas reconnu au sein d’un couple et que la police me rirait au nez si je le faisais savoir… il s’était débrouillé pour se procurer le double de clef de chez moi pour rentrer dans mon appartement pendant mes absences. un jour il a sonné, je n’ai pas répondu et il est entré, c’est alors que j’ai réalisé que ce n’était pas la premiere fois… je l’ai mis dehors en lui reprenant la clef (malheureusement il en avait déjà fait un double). Le week-end d’après, il rentrait à nouveau chez moi. La police m’ayant demandé de piéger la porte d’entrée en y posant un simple adhésif alors rompu lorsqu’il a ouvert la porte. j’ai à chaque fois porté plainte mais l’affaire a été classée sans suite auprès son audition en présence de son avocate. depuis il me harcèle encore plus, me fait suivre par 3 détective privés, fait parvenir des rapports de ces derniers à mon avocate par le biais de la sienne. personne ne semble prendre au sérieux ses démarches à mon égard. J’en crève de ne plus voir mes filles depuis plus de 3 ans. Le dialogue est rompu et plus rien ne semble m’aider à retrouver ma place de maman. Cet homme n’est pas inquiété et je ne vis plus normalement. J’ose en parler maintenant et je le dénonce. Des amis communs sont persuadés que je mens et se détournent de moi.
Ma famille est enfin au courant et me soutient.
Mes filles ne veulent pas me croire.
Je suis assez perdue malgré l’aide apportée par une association AJC qui enfin fait ce qu’elle peut avec ce que j’ai pour m’aider à obtenir réparation. Il m’arrive de douter en la JUSTICE et je ne comprend pas que nous ne soyons pas plus écoutées. J’ai 50 ans et je me sens morte trop souvent. J’ai fait une TS et je ne veux pas mourir.
Je suis usée d’attendre que les choses changent enfin.
Chère Anonyme,
Vous devez souffrir le martyre ! Ne pas voir ses enfants quand on est mère doit être atroce !
C’est bien si votre famille et cette Association vous soutiennent !
Avez-vous l’interdiction de voir vos filles? Pourquoi n’avez-vous pas la garde partagée avec votre ex-mari ?
Avez-vous saisi le juge aux affaires familiales pour obtenir la garde alternée de vos filles ou des autorisations de visites?
Faites-vous faire un certificat par votre psychiatre indiquant que vous avez fait une TS parce que vous ne pouvez pas voir vos filles et faites en sorte que ce document parvienne au Juge des Affaires Familiales !
Il vous faut davantage d’aide et de conseils!
Cherchez sur Google les coordonnées du CIDFF ( Centre d’Information des droits des Femmes et des familles) le plus proche de chez vous : les consultations de juristes et de psychologues sont gratuites. Vous pourrez obtenir des infos et des conseils pour vous défendre et récupérer vos filles !
Vous avez aussi le Planning Familial
Information, conseil, écoute :
Tél : 0800 08 11 11
Du lundi au samedi, de 9h à 20h
Service & appel anonymes et gratuits
En les contactant vous obtiendrez les coordonnées du Planning Familial le plus proche de chez vous et là, vous serez prise en charge intégralement. Ils vous diront quoi faire ! Voyez s’ils ont une Assistante Sociale qui peut vous aider !
Je vais chercher un peu plus tard dans la soirée si je peux trouver d’autres infos pour vous aider !
Courage ! Il faut vous battre comme une lionne pour atteindre votre but : voir vos filles régulièrement et redevenir une maman pour elles !
Chère Anonyme,
Voici les Associations qui pourront vous aider car elles sont spécialisées dans le domaine des PN :
– l’association CVP, association contre la violence psychologique.
– L’ AVMPN association d’aide aux victimes des manipulateurs pervers narcissiques.
Chère Anonyme,
Voici quelques infos sur la garde alternée:
Comment bénéficier de la garde alternée pour un enfant ?
Vérifié le 18 avril 2018 –
Site : service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1329
• Principe de la garde alternée
Une proposition de loi prévoyant de généraliser la résidence des enfants chez chacun de leurs parents (garde alternée) est en cours de discussion. Les règles sont susceptibles d’être modifiées. Dans l’attente, les informations contenues dans cette page restent d’actualité.
• Désaccord entre les parents
Dans les cas de divorce autres que par consentement mutuel ou dans le cas des ex-concubins ou des ex-pacsés, si les parents n’arrivent pas à se mettre d’accord, c’est le juge qui tranche dans l’intérêt de l’enfant.
Il convient de saisir le juge aux affaires familiales, auprès du tribunal de grande instance, en utilisant le formulaire cerfa n° 11530*05.
Le juge aux affaires familiales compétent est celui de votre domicile. Vous pouvez lui présenter toutes les preuves de violence : certificats médicaux, photo des blessures, témoignages…
Il peut ordonner, à titre provisoire, une résidence en alternance, dont il détermine la durée. À la fin de cette période, le juge statuera définitivement sur le mode de résidence en confirmant la résidence alternée si l’enfant y a trouvé son intérêt.
Ce peut être par exemple :
une semaine chez l’un et une semaine chez l’autre,
ou à un autre rythme en fonction de l’intérêt de l’enfant et de la situation familiale.
Le temps de résidence de l’enfant au domicile de chaque parent n’est pas obligatoirement identique : l’enfant peut vivre 3 jours chez l’un et 4 jours chez l’autre par exemple.
La résidence alternée suppose que le père et la mère résident à proximité l’un de l’autre, notamment pour que l’enfant puisse conserver la même école toute l’année, sans subir des temps de trajet excessifs.
La résidence alternée n’est pas incompatible avec le versement d’une pension alimentaire lorsqu’il y a un écart entre les revenus des parents et que cette aide est nécessaire à l’entretien de l’éducation de l’enfant.
*À savoir :
les parents qui ont au moins 2 enfants à charge au sens des prestations familiales dont au moins 1 en résidence alternée peuvent demander le partage des allocations familiales.
• Où s’adresser ?
Tribunal de grande instance (TGI)
Formulaire
Demande au juge aux affaires familiales (autorité parentale, droit de visite, pension alimentaire…)
Formulaire Cerfa n° 11530*05
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Site : contact-avocat.com/garde-alternee-conditions-garde-partagee/
• Qu’est-ce que la garde alternée?
La garde alternée, ou garde partagée, consiste à laisser l’enfant d’un couple divorcé un temps chez un conjoint, et un temps chez l’autre. Très souvent, la garde alternée se fait par semaine. On laissera par exemple l’enfant une semaine chez son père, puis une semaine chez sa mère, et ainsi de suite.
Un divorce en garde alternée ne convient pas à tous les parents, loin de là. En effet, la garde partagée sous-entend une nécessaire entente entre les parents, mais aussi des conditions financières suffisantes, car la garde alternée nécessite que l’enfant dispose de tout en double.
Naturellement, au-delà des considérations des parents, c’est aussi au bien-être de l’enfant que la loi française va s’intéresser. Voilà pourquoi une garde alternée sera toujours examinée par un juge aux affaires familiales, qui sera le seul à même de décider si le divorce peut mener à une garde alternée… ou non !
• Choisir la résidence alternée
Il est assez rare que la résidence partagée soit prononcée lors d’un divorce résolument conflictuel. Comme la garde alternée exige un minimum de bonne volonté de la part de chaque parent, elle sera rarement prononcée sans l’accord des deux parents.
• Voici les différents cas de choix de la garde alternée :
– Divorce par consentement mutuel: Un divorce en garde partagée est souvent prononcé lors d’un cas de divorce par consentement mutuel. Les deux parents ont alors déclarés qu’ils étaient favorables à la garde partagée, et le juge a accepté la garde partagée.
– Autre type de divorce : Dans tous les autres types de divorce, la garde alternée n’est choisie presque exclusivement que lorsque les deux parents finissent par se mettre d’accord. Le juge sera encore une fois le seul à même de définir si la garde partagée est le meilleur choix possible pour l’enfant.
• Divorce en garde alternée : les critères de choix du juge
Au moment de déterminer si la garde alternée est viable pour l’enfant, un juge aux affaires familiales va systématiquement examiner plusieurs facteurs en détail.
Il peut être utile de comprendre sur quels critères le juge va se baser pour déterminer si une garde alternée est possible:
– L’âge de l’enfant :
Un enfant doit être suffisamment mûr pour comprendre la garde partagée. De manière générale, il est assez rare qu’un enfant de moins de 5 ans soit placé en garde alternée.
– La proximité des deux domiciles:
Pour des raisons simples (proximité de l’école, facilité de conduire l’enfant de chez un parent à l’autre, etc.), une garde alternée ne se fera pas si les domiciles des parents sont trop éloignés l’un de l’autre. Il existe des cas de garde alternée “sur-mesure” pour des parents éloignés, mais cela reste rare.
– L’accueil de l’enfant : Naturellement, le juge examinera avec attention les conditions d’accueil de l’enfant dans chaque domicile. Présence d’une chambre individuelle ou d’une chambre collective assez vaste, disponibilité et situation professionnelle de chaque parent, présence d’affaires personnelles de l’enfant dans chaque domicile… Une garde alternée est coûteuse pour les parents, car l’enfant doit, pour des raisons pratiques, tout avoir en double. Ces conditions sont néanmoins nécessaires pour qu’une garde alternée soit acceptée.
– L’entente des parents :
Enfin, l’une des dernières conditions de garde alternée reste l’entente des parents. Bien entendu, nul ne s’attend à ce que des parents divorcés s’apprécient mutuellement, mais il est nécessaire, pour le bien être des enfants, que les parents soient capables de mettre de côté leurs griefs personnels.
Ainsi, le juge vérifiera que les parents ont les mêmes méthodes d’éducation et sont suffisamment mûrs pour assumer une garde alternée. L’idée est bien sûr que la vie de l’enfant soit stable, et non pas radicalement différente d’un domicile à l’autre.