pedophile
le fils de ma nourrice avait 22 ans et moi 7 ans quand il a eu des attouchements a mon egard,je l’ai revue 10 ans apres et cette fois il m’a violé.j’en ai parlé a ma mere qui a dis que c’etait bien fais pour moi,j’avais du le chercher,et sa femme m’a demandée de ne pas porter plainte a cause de leur fils qui etait tres malade.par la suite j’ai accumulée les rencontres pour me “laver”,mais je me suis detruite dans la drogue et l’alcool.aujourd’hui j’ai 45 ans et 5 enfants,j’ai vue une psy pendant 4 ans et suis bien dans ma peau.J’ai retrouvée ce porc via FB et me suis debrouillée pour avoir les coordonnées de toute sa famille et je l’ai denoncée par courrier a chacuns.meme si il y’a prescription cela m’a permise de cloturer ce chapitre
Les mères sont coupables du cautionnement de ces actes de pédophilie dans la majorités des cas !
Chère Zabeth,
La vengeance comme remède ? J’ai eu et j’ai encore ce choix. Pourquoi ne l’ais-je pas fait ?
En tous cas, pas parce qu’il m’a demandé pardon ! J’ai porté plainte alors que je savais qu’il y avait prescription, pour que si jamais une autre de ses victimes voulait porter plainte, qu’elle ne soit pas seule et qu’elle soit crue !
Je ne l’ai pas fait, car ce serait détruire des innocents ! Lui est coupable, pas les autres et encore moins ses enfants ! Dieu sait ce qu’ils ont vécus ! Et il faudrait en plus les enfoncer en leur faisant porter une honte supplémentaire, celle d’avoir pour père un pédophile ! Je n’ai pas pu m’y résigner !
Vous me direz, porter plainte revient à la même chose ! À ceci près, que je ne l’ai pas fait pour moi, ni par vengeance, mais pour aider une autre victime au besoin, car sa souffrance primera alors sur la souffrance de la famille de ce pédophile !
vous etes persuadé qu’il souffre,et apparament il a demandé pardon,pour moi ce n’est pas le cas,il m’a dit qu’il remettrais bien ça et n’a aucuns regrets d’où ma demarche de le faire savoir a sa famille entre autre car le procureur a estimé que mon signalement etait tardif
Chère Zabeth,
Merci pour votre réponse. Vous m’avez mal comprise. Je parlais de la souffrance d’une victime dont les faits ne seraient pas prescrits. Là, pour la défendre et l’aider je ne tiendrai plus compte de la famille du pédophile ! Lui, mon pédophile, souffrir ? Je ne crois pas, non ! Et s’il souffre, eh bien tant mieux ! Mais faire souffrir sa famille, je ne pense pas que je le ferai sauf pour aider une de ses victimes. Mais je ne critique pas ce que vous avez fait ! Chaque victime se défend comme elle peut face aux démons qui la hantent ! Et s’il vous a menacé de vous violer à nouveau, je comprends votre démarche ! Savez-vous ce qui en a résulté ? Sa famille l’a t’elle quitté ?