1992, je suis une jeune employée dans une étude d huissier de justice, mon patron me fait des compliments, puis des allusions de plus en plus osées. Je ne relève pas. Il est pourtant informé que j ai un ami. Un samedi matin il me coince dans le local de la photocopieuse. Je suis de dos je dois attraper une cartouche d encre pour l imprimante. Il me fait un bisou dans le cou en se plaquant contre moi. Je l ai engueulé, il s est excusé et m a fait promettre de ne pas en parler à sa femme, avec qui je travaillais également. Lui j ai réussi à le contenir et qui il ne recommence plus. Par contre la collègue à qui j en ai parlé m’a lâchement donné auprès de sa femme en disant que j avais un comportement provocateur. J en avais aussi parlé à mon autre patron qui lui m a dit qu il ne pouvait rien dire rien faire. Aujourd’hui j espère que ces comportements n existent plus et que les victimes sont aidés et soutenus.
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