par un “petit ami”…
Enfant on ne m’a pas appris à dire mon avis ni à dire non… Pleine de catéchisme et de “bonté chrétienne”, à l’adolescence je n’avais donc aucune défense.
Un soir de réveillon en Deux-Sèvres, un “petit ami” avec qui je n’avais eu aucune relation sexuelle avant ça, m’a violé lors d’un cache-cache. C’est arrivé une deuxième fois, ou il a débarqué en pleine nuit dans ma chambre d’étudiante.
J’ai mis 5 ou 6 ans avant de pouvoir le ressortir de mon inconscient et de suivre une thérapie pour me réparer…
Les violeurs savent qu’une personne qui ne sait pas dire non n’est pas une personne qui déposera plainte. Je suis certaine qu’il avait bien compris que vous garderez ça en vous sans en parler à personne.