Après avoir porté plainte contre X pour viol collectif car j’avais peur de me faire tuer par les types qui m’avaient violé, torturé frappé violemment à coups de jambes dans le torse, d’injures, humiliation complète, alors que j’étais allongée à même le sol : coups dans le torse sans aucun moyen pour me défendre physiquement contre eux, fais violé pendant que je suppliais en pleurant amèrement et suffoquant » svp laissez moi partir « , je passe des détails choquants d’attouchements obscènes.
Nuit horrible.
Dépôt de plainte horrible.
Rapport à mes collègues et camarades de cours de master en alternance détruits, vie sentimentale bousillée, honte permanente, malaise social.
Un an environ passe.
Actes de malveillance en milieu thérapeutique puis en enfermement psychiatrique, anéantie, shootée.
Tentative de meurtre préméditée par un membre N.A qui se faisait passer pour un confident amical avant le passage à l’acte avec tentative d’étouffement à mon domicile.
Il est venu à deux reprises un soir de mars 2011. Un mardi.
Je devais voir mon ex copain ( de 2009 à 2010 ou 11, relation fluctuante), il est passé en véhicule blanc de location, car il m’avait téléphoné plusieurs fois au préalable, plusieurs jours avant, en répétant qu’on devait se voir ce soir là. Il m’a dit en bas par téléphone : » descend je suis en voiture « , je suis descendue, je suis montée dans la petite voiture deux portes de location, il m’a dit que c’était une voiture à la boîte de production audiovisuelle dans laquelle il était ( et est toujours selon lui, régisseur ) mon tel a sonné » ouvre lui, c’est ton pote, ça tombe bien je peux pas rester je suis passé te prévenir que je peux pas rester avec toi ce soir « , » « répond lui et passe la soirée avec lui » ( comment pouvait il savoir que le mec en question habitant loin de chez moi de plus de 30 minutes de trajet métro était déjà là devant ma porte ?)
bref, je répond le mec est là.
Il reste une première fois 10 minutes max, et je le force à repartir en insistant que je veux dormir seule.
Seule, porte fermée, environ 15 minutes se passe.
le même
J’étais alors suivie et hébergée en appartement Thérapeutique.
Aucune aide de la part du centre associatif, aucun soutien de personne, absolument personne ( ni police survenue 7 ou 8 minutes après l’agression ) ni des acteurs sociaux éducatifs.
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