Nouvelle sortie polémique de la part de Catherine Millet
Des propos très polémique autour du harcèlement et des agressions sexuelles
Ça c'est mon grand problème, je regrette beaucoup de ne pas avoir été violée. Parce que je pourrais témoigner que du viol on s'en sort
Ce jeudi 11 janvier 2017, alors qu’elle était invitée dans l’émission Quotidien sur la chaîne TMC, Catherine Millet a une nouvelle fois brillé avec ses propos sur le harcèlement et les agressions sexuelles, ce qui a crée une nouvelle polémique.
Alors qu’elle était interrogée sur les agressions sexuelles que subissent les femmes dans les transports en commun. Celle-ci a indiqué qu’une femme ne doit pas se sentir traumatisée ou blessée par ces agissements qui sont punis par la loi.
Catherine Millet en a profité pour expliquer qu’elle-même, lorsqu’elle était plus jeune, avait fait les frais de ce genre d’actes.
Je sais que c'est un délit aujourd'hui et pour vous dire les choses, moi j'étais contre cette loi. Tout le temps où j'avais le même âge que vous et que ça m'arrivait, et bien il suffisait que je me retourne (…). Je lui faisais honte devant tout le monde et puis ça passait. je sortais du métro et j'avais oublié cette affaire.
Selon elle, ainsi que la centaine de signataires de la tribune qui a beaucoup fait réagir sur la toile, les femmes doivent prendre leurs responsabilités pour ne pas se placer dans le rôle de victime.
Catherine Millet a ensuite affirmé avoir de la compassion pour les frotteurs, en indiquant que ces derniers devaient être dans une certaine misère sexuelle pour être réduit à faire ce genre de chose pour trouver une satisfaction sexuelle.
J'ai une certaine compassion pour les frotteurs (…) Quelqu'un qui en est réduit à ça pour trouver une satisfaction sexuelle doit être dans une certaine misère sexuelle.
L’écrivaine a très rapidement était la cible des internautes qui n’ont pas tardé à réagir sur les réseaux sociaux. Marlène Schiappa, actuelle secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes a également tenu à réagir à ces propos, en indiquant que “Le corps des femmes n’est pas un bien public ou un réceptacle à misère sexuelle”.
Ce vendredi 12 janvier 2017, Catherine Millet a de nouveau crée la polémique au micro de la matinale de France Inter. Cette dernière a expliqué qu’un homme fumant un gros cigare près d’elle “l’importunait” autant qu’un autre lui mettant une main sur le genou. Elle en a également profité pour donner son avis sur le projet de loi suédois autour du consentement sexuel.
Ce qui m'a fait réagir sur cette histoire de consentement c'est ce projet de loi qui a été adopté en Suède et qui voudrait si en effet la loi passe qu'avant tout rapport sexuel il y ait un consentement explicite des deux parties. Non mais vous voyez on va maintenant signer un contrat devant un notaire avant d'aller baiser ?
Ces propos tenus à l’antenne de France Inter ont très vite fait réagir les internautes et notamment sur Twitter.
Catherine Millet a eu une sexualité débridée mais protégée, elle l’explique dans ses livres, Jacques Henric, son mari, était toujours là pour veiller au grain dans ses partouzes, il ne la laissait pas se faire massacrer, il lui permettait d’assouvir ses fantasmes sans qu’aucun homme ne puisse lui faire de mal.
Trop facile dans ces conditions!
Juste s’il lui plait et si elle en a envie, c’est elle qui contrôle et décide.
J’ai lu son livre sur sa vie sexuelle, je ne me souviens pas de sexe oral de sa part ni de sodomie péniblement subie, non, juste du “normal” selon son plaisir à elle.
Je suis ravie que vous ayez mis à la disposition des personnes qui viennent témoigner ou s’exprimer sur ce site, les vidéos de Catherine Millet et compagnie. Merci d’exposer les propos déplacés de cette “petite dame”, dans Quotidien, France Inter et la Tribune. J’ai réagi il y a presque 19h de cela, en les dénonçant dans un commentaire du témoignage de Nini : “Dénoncer LA TRIBUNE du MONDE” Par NINI
Le Jan 11, 2018.
Donc si je comprends bien, on devrait espérer des violences sexuelles, même les plus dures, pour pouvoir espérer s’en remettre et donc se sentir plus forte……
et sinon, agir avant….
et par exemple créer un blog pour éviter (puisque la loi reste lettre morte) que certains hommes ne se sentent plus en toute impunité au quotidien ….. c’est pas être forte ?
Et puis sinon…… elles ont qu’à porter un badge ce sera plus simple : “je suis pour la liberté d’importuner” ce sera plus simple.
Pour finir, on m’a toujours appris que la liberté des uns s’arrête la ou commence la liberté des autres ….et il me semble que l’on a le droit de vivre en paix …..
Bonjour, c’est incroyable d’entendre des paroles d’une violence inégalable de la part de Catherine M.
Nous ne sommes pas dans un jeu ou de l’art pornographique mais nous parlons de viol = VIOLENCE SANS ACCORD
Si vous dites que vous auriez aimé être violée, c’est que vous êtes dans votre tête déjà en accord alors il n’y a peut-êrte pas viol.
Vous avez la parole mais les victimes non consententes dans le huit clos d’une chambre avec la peur au ventre et la paralysie…. NON MADAME NON
NI VOUS MADAME LAIEH NON NON NON JOUIR D UN VIOL PHYSIQUEMENT PEUT ETRE MAIS MENTALEMENT NON
Si je suis gourmende de chocolat et que vous mettez de force un carré de chocolat dans ma bouche. Je vais aimer ce goût mais mon mentale on. Il y aura ce dégout qui pourra m’éloigner de ce chocolat un moment.
alors je vous dis NON mesdames non non comme aux violeurs.
Les hommes ont besoin d’être aider dans la démarche de la drague avec vos paroles, c’est le retour à la case départ. vOUS AVEZ PAS DES IDEES PLUS FINES POUR EUX A PART LE VIOL ????
Pitié!
Cette femme est d’une imbécilité à faire pleurer. Et quel nombrilisme! C’est affligeant de tout ramener à soi et à ses fantasmes au mépris des victimes d’agressions.
On se fiche pas mal de la misère sexuelle des frotteurs. S’ils lui font tant de peine, qu’elle se charge de les soulager et qu’elle s’abstienne de dire aux femmes ce qu’elles doivent ressentir ou pas après avoir été agressées.
C’est pathétique d’avoir envie d’être le centre de l’attention à ce point-là…
Ce taire et soufrir ,balancer et sourire
Là est le problemz