J’étais au collège quand j’ai rencontré mon premier petit copain. Il avait 1 an de plus que moi, quand j’étais en 6ème, il était en 5ème. Au début comme dans tout début d’histoire d’amour, tout se passait bien. Mais plus les années passés plus, il était possessif avec moi. A chaque inter-cours, il venait me voir, à la pause je devais rester avec lui. Quand je refusais ses exigences, il m’empoignait le bras méchamment. J’en avais des bleus tellement, il serait fort. Mais quand nous étions tous les deux tout se passait bien. Il ne supportait pas qu’une autre personne me regarde ou me touche. Je pensais que c’était parce qu’il m’aimait qu’il était comme ça avec moi. Quand j’étais en dernière année de collège, lui était au lycée, je pensais que j’allais être un peu plus libre mais c’était pire. Quand je sortais du collège je devais tout lui expliquer chaque heure de cours qui m’a regardé. Je n’en pouvais plus si je ne lui répondais pas, il me frappait. Quand j’ai décidé de rompre avec lui, cela a été l’horreur. Il continuait de me suivre, de me harceler. J’ai fini par demander à mon père de lui faire peur car je n’en pouvais plus, j’ai fini mon année de collège avec difficultés puis je suis allée au lycée. J’ai choisi un autre lycée afin de ne pas me retrouver avec lui.
Ouf! Mais à quel prix! Devoir éviter son Lycée pour avoir la paix!
Jeunes filles, dès que vous avez affaire à ce genre de malade jaloux, possessif, violent, larguez le immédiatement, au premier bleu, au premier reproche anormal, du balai!
Sinon vous allez entrer dans la spirale infernale qui fait les femmes battues et massacrées.
Le ” je t’aime, je te tue!”. C’est intéressant seulement à l’Opéra! Si vous ne voulez pas finir comme Carmen, un poignard dans le coeur, allez voir ailleurs, des garçons gentils cela existe pour la vraie vie.