Mon pervers à moi s’appelle Moussa
C’est vrai, ce n’est pas le sexe ou la tendance sexuelle qui fait le harcèlement, l’agression, le viol c’est le pouvoir que la pervers à sur la victime.
Mon pervers à moi se prénomme Moussa. A au moins 3 reprise, avant le mois d’Août, cette personne, de catégorie A (puisque nous sommes dans l’administration) a commencé des caresses de la main puis est remonté au bras jusqu’à l’épaule.
Je me suis à chaque fois éloigné le plus rapidement possible, la configuration du bureau rendant plus difficile la manœuvre.
J’ai fait cesser ces actes finalement en faisant bien comprendre que j’allais utiliser une caméra espion (que l’on trouve facilement sur internet) et la diffuser sur YouTube, sachant que les administrations ne sont sensibles qu’à cela. Et que j’allais vraiment le faire.