Je pratique le footing depuis des années même quand nous sommes en vacances, j’essaie toujours de trouver un endroit pour aller courir. Nous étions en vacances mon mari et moi quand cela est arrivé. J’avais trouvé une forêt avec différents parcours pour renforcer les muscles. Nous avions décidé mon mari et moi d’y aller. C’était le matin trés tôt pour éviter de croiser trop de promeneur. Nous étions en train de courir mais mon mari voulait aller plus vite donc je lui ai dit d’y aller et qu’il m’attend à l’arrivée. Donc je me suis retrouvée toute seule. Au bout d’un moment, un homme qui était en train de courir, a commencé à se mettre à ma hauteur et à me parler. On a discuté un peu et aprés je lui ai expliqué que quand je cours je n’aime pas trop parler car je me concentre sur ma respiration. Trés gentil, il me dit qu’il y a aucun soucis et comme il savait que j’étais avec mon mari, il me dit en rigolant je vais essayer de rattraper votre mari. Du coup, je le vois faire un sprint et s’éloigner. Je continue à courir, j’arrive à un parcours de renforcement pour muscler les bras. Je vous explique un peu le parcours : je dois m’accrocher avec les deux mains sur la barre et soulever tout mon corps pour passer ma tête au dessus de la barre et cela 2 séries de 10. Je commence à faire la première série aucun soucis. Je souffle un peu et me prépare pour la 2ème série, je met mes mains sur la barre d’un seul coup 2 mains viennent se mettre au dessus des miennes pour m’empêcher de bouger. La personne est dans mon dos mais j’arrive à reconnaitre qui c’est, c’est celui qui était censé rattraper mon mari. Il se colle à moi et se frotte comme un pervers. Je me débat et bouge dans tous les sens. Il me pousse pour me coller à un des 2 poteaux qui maintient la barre du haut. Je ne sais pas pourquoi je ne l’ai pas fait avant, mais n’arrivant pas à me libérer je commence à crier de toutes mes forces. Mais ça ne l’empêche pas de continuer à se frotter à moi. Je continue de crier, il me dit des trucs mais je ne fais même pas attention, je crie. Au bout d’un moment, j’aperçois mon mari au loin qui arrive en courant. Je l’appelle pour lui dire de venir m’aider. A ce moment là, le pervers me lache et part en courant. Mon mari arrive et il me prend dans ses bras, me demande si je vais bien. Je lui répond que ça va grâce à lui. Nous sommes repartis à la voiture. Je me sentais sale. Quand nous sommes rentrés à l’hôtel, je suis vite allée me doucher et j’ai jeté mes vêtements dans la poubelle. Quelques jours aprés, nous sommes retournés dans cet forêt pour aller prévenir le gardien que l’on avait vu la dernière fois que nous y avions été.
Décidemment, il y en a qui ont de gros soucis avec leur corps, jamais assez secoué. Leur tête est, elle, bien secouée en revanche.
Dommage que le mari n’ait pas sprinté pour rattraper le frotteur et lui coller une bonne secouée. Vous l’auriez aidé. Cela vous aurait soulagée.
Pour les vêtements, vraiment dommage, une bonne lessive aurait suffi.
Pour calmer ce taré, il aurait été bien de déposer une main courante avec tout le signalement.
Pour le mari qui aime en faire plus et plus vite, lui demander à l’avenir d’aller plus avant puis de revenir sur ses pas, il peut ainsi faire le double du parcours et vous l’avez quand même toujours à portée de voix.
Sinon, une alarme personnelle, un sifflet d’arbitre autour du cou, et le frotteur aurait détalé. Moins excité que par des cris affolés toujours si plaisants pour un agresseur.