Suite à un avortement,mon médecin de famille, de Gréasque, m’a posé un stérilet,et du coup il m’a proposé de le tester ,j’avais 18 ans lui 50 ans,je me souviendrai toujours du dégoût, de la peur qui m’ont envahie quand j’ai senti sont sexe contre ma cuisse,je me suis débattue les pieds coincés dans les étriers gynécologiques,j’ai vomi en sortant du cabinet médical,je n’ai rien pu dire à mes parents puisque je lui devais son silence pour l’avortement.Ma vie sexuelle et sentimentale a été bouleversée à jamais,j’ai 54 ans mais on n’oublie pas une telle entrée dans l’age adulte.Je n’ai pas porté plainte et je regrette,j’ai essayé de vivre avec et oublié en vain.j’espère que d’autres filles n’ont pas eu les mêmes soucis.
Une honte inommable mais difficile de porter plainte car l’omerta règne dans ce milieu. La personne qui porte la honte toute sa vie n’est pas celle qui devrait la porter…Nul doute qu’il ait pu profiter de sa position pour renouveler l’expérience ! Abus de pouvoir récurrent en milieu médical… L’horreur…
Comme je vous comprend . Notre vie sexuelle est boulversé par ses actes odieux .
J en ai subi un également .
Allez en parler maintenant il n est jamais trop tard et cela fait du bien
Un médecin qui avait juré certainement sur le serment d’Hypocrite…. Certains de ses personnes, cela leur tourne la tête et ont des comportements abjectes. Ils se sentent tout puissants.. Misère humaine dans toute sa splendeur
Mettre un stérilet à une petite qu’on vient d’avorter c’est glauque, fait par un homme, c’est de la torture physique et psychologique. C’est du sadisme à l’Etat pur.